Le Px7 S3 porte l’héritage audiophile de Bowers & Wilkins, un géant britannique du son, désormais bien implanté sur le segment des casques Bluetooth à Réduction de Bruit Active. Le Px7 S3 fait d'ailleurs partie de notre sélection des meilleurs modèles du moment. De son côté, le WH-1000XM4 de Sony a longtemps régné en maître dans cette catégorie et a convaincu les mélomanes pour sa polyvalence et sa signature sonore maîtrisée. Bien qu'il soit âgé de 5 ans, il est toujours vendu neuf dans le commerce et à un prix défiant toute concurrence vis-à-vis de ses performances hors normes. Dans ce duel, nous passons au crible la qualité de fabrication, le confort, les performances sonores, l’isolation et tous les autres critères de choix clés.

Qualité de fabrication : deux visions totalement différentes

Bowers & Wilkins a toujours soigné ses produits à l'aide de matériaux nobles, et ce Px7 S3 ne déroge pas à la règle. Les matériaux sont denses, robustes, et aucune marque d'assemblage ne vient gâcher l'expérience. Le casque demeure souple et relativement léger. L'arceau supporte les torsions sans broncher et les oreillettes pivotent très généreusement à plat dans les deux sens. Cependant, l'appareil n'est pas entièrement pliable.

B&W Px7 S3
B&W Px7 S3 © Karyl Ait Kaci Ali pour Capital

De son côté, le WH-1000XM4 peut sembler moins “noble” au toucher. Il se contente d'une finition minimaliste en plastique mat, sans pour autant dénoter. Aucun élément ne présente de véritable défaut de fabrication : les plastiques sont denses, le casque est pliable, léger et particulièrement souple au niveau de l'arceau comme des oreillettes, qui pivotent dans les deux sens pour faciliter le port autour du cou. Forcément, les matériaux plus premium sont absents, mais Sony a préféré réaliser un objet fonctionnel réussi plutôt qu'un bel objet agréable à regarder.

© Benoit Campion pour Capital

Quand le Px7 S3 arbore une finition premium, Sony contre-attaque avec une conception plus pratique et pliable. De notre point de vue, les deux casques ont leurs avantages et leurs inconvénients, et aucun ne prend véritablement l'avantage sur ce critère. B&W PX7 S3 (0-0) Sony WH-1000XM4.

Confort : deux conceptions confortables

Le Px7 S3 a vu son arceau et ses oreillettes retravaillés pour envelopper plus efficacement les oreilles. Le fabricant a rogné quelques grammes par rapport au Px7 S2, et cela se sent : la répartition du poids est soignée et l’effet de “pince” demeure modéré. On note juste un petit appui encore perceptible sur le sommet du crâne, qui devient un peu gênant lors d’une écoute prolongée, mais rien de rédhibitoire. Même si le casque est conçu pour s’adapter à de nombreuses têtes, certains utilisateurs très sensibles pourraient préférer un arceau encore plus moelleux.

B&W Px7 S3
B&W Px7 S3 © Benoit Campion pour Capital

De son côté, le WH-1000XM4 enchaîne les bons points sur ce critère. Son poids plume et la finesse de ses coussinets en similicuir assurent une pose très douce sur les oreilles. L’arceau est très souple, par conséquent, son débattement est largement suffisant pour convenir à la plupart des morphologies. Les oreillettes laissent assez d'espace pour loger les oreilles et l'effet de pince, qui joue d'ailleurs sur l'isolation, est parfaitement maîtrisé.

Sony WH-1000XM4
Sony WH-1000XM4 © Benoit Campion pour Capital

Pleinement abouti pour un port prolongé, le casque de Sony reste à ce jour une référence en matière de confort. B&W Px7 S3 (0-1). Sony WH-1000XM4.

Prise en main & fonctionnalités : à l'essentiel

Le Px7 S3 se pilote à l'aide de boutons physiques aisément accessibles et répartis de manière intuitive. Il embarque plusieurs aides pour guider l'utilisateur, mais uniquement en anglais. En revanche, l'application smartphone B&W Music offre un tutoriel bien élaboré qui montre toutes les facettes de l'appareil. L'application se contente de l'essentiel en termes de personnalisation avec un égaliseur cinq bandes, la gestion des appareils connectés, la mise en veille automatique… On bénéficie également d’un capteur de port pour la lecture/pause automatique.

Application B&W
Application B&W © Benoit Campion pour Capital

De son côté, le WH-1000XM4 mise essentiellement sur une interface tactile, très complète et éprouvée dans le temps au point qu'elle serve de modèle pour plusieurs concurrents. Les gestes sont intuitifs et la coque répond bien, sans latence gênante. On trouve aussi deux boutons physiques pour l’allumage et la gestion de la réduction de bruit. En prime, un capteur de présence s’occupe d’arrêter ou de relancer automatiquement la lecture. Le casque s’avère redoutable en termes de petits “plus” : on peut aisément couper l’isolation en posant la main sur l’oreillette, activer une fonction pour couper le son quand on parle, ou encore personnaliser divers réglages audio dans l’application Sony Headphones. Les fonctionnalités, nombreuses, s’accompagnent d’une bonne fiabilité.

Application Sony Headphones
Application Sony Headphones © Benoit Campion pour Capital

Les deux casques offrent une ergonomie réussie et des applications complètes mais Sony a quelques bonus appréciables, fruits de nombreuses années d'expérience dans ce domaine. Sur ce critère, ils sont au coude-à-coude mais Sony l'emporte. B&W Px7 S3 (0-2) – Sony WH-1000XM4.

Connectivité : le Px7 S3 est bien plus moderne

Chez Bowers & Wilkins, la polyvalence est un véritable mot d’ordre. Le Px7 S3 se connecte en Bluetooth (5.3) avec prise en charge des codecs aptX Adaptive et aptX HD, ou en USB-C directement sur un ordinateur, certaines consoles ou encore un smartphone. On obtient alors une transmission audio numérique jusqu’à 24 bits/96kHz. On retrouve aussi un mini-jack pour une utilisation filaire classique via un adaptateur USB-C vers mini jack. Le multipoint est présent : le casque peut gérer deux connexions Bluetooth simultanément. Le dernier standard en date, le LE Audio avec codec LC3 et protocole Auracast, pour connecter plusieurs casques à une même source en temps réel, sera aussi de la partie mais seulement à la fin de l'année 2025 selon la marque.

B&W Px7 S3
B&W Px7 S3 © Benoit Campion pour Capital

Sony propose lui aussi une connexion multipoint, un appairage simplifié via Google Fast Pair, mais compte sur son très bon codec maison pour la haute définition audio, le LDAC. Pas d'aptX donc. Aucun accroc majeur au niveau de la stabilité du signal, mais le WH-1000XM4 ne peut pas fonctionner en USB audio. Il se limite au mini-jack analogique si l’on souhaite profiter d’un branchement filaire. Surtout, le casque embarque une puce Bluetooth 5.0, ce qui ne lui permettra pas de profiter des nouveautés de la norme LE Audio. Une connexion stable et efficace donc, mais vieillissante.

Sony WH-1000XM4
Sony WH-1000XM4 © Benoit Campion pour Capital

Capable de se connecter en USB-C, en Bluetooth, en jack, et bientôt compatible LE Audio, le Px7 S3 est très complet, moderne, et remporte indéniablement ce point. B&W Px7 S3 (1-2) – Sony WH-1000XM4.

Performances sonores : deux propositions solides, et un égaliseur bienvenu

Lors de la conférence de présentation du Px7 S3, la marque avait affirmé vouloir proposer le son le plus équilibré possible, mais nos mesures montrent autre chose. Les deux extrémités du spectre (basses et aigus) sont bien mis en avant. L’assise, l’impact provenant des extrêmes basses et basses prend beaucoup de place. De l'autre côté, la mise en avant des aigus/extrêmes aigus, la marque de fabrique de B&W, a pour effet d'ouvrir et "d'aérer" l'image sonore tout en accentuant la clarté, rendant le son presque trop brillant. Malgré ce caractère clivant, le rendu sonore est très fin, ciselé, nuancé et extrêmement propre. La gestion de la distorsion est par ailleurs excellente. Pour ceux qui n’apprécient pas ce rendu sonore, il est possible de corriger cela grâce à l'égaliseur cinq bandes et ainsi adoucir les deux extrémités du spectre. Pour notre part, nous l'aimons beaucoup, notamment car il y a un creux bienvenu dans les haut-médiums entre 3 et 5 kHz qui permet d'éviter trop de sibilance (les sont "s" trop sifflants).

Mesure de la réponse en fréquence : Px7 S2 (courbe bleue) vs Px7 V3 (noire). Cette courbe traduit la signature de l'appareil, sa capacité à reproduire avec plus ou moins d'intensité l'étendue des sons audibles par l'oreille humaine.
Mesure de la réponse en fréquence : Px7 S2 (courbe bleue) vs Px7 V3 (noire). Cette courbe traduit la signature de l'appareil, sa capacité à reproduire avec plus ou moins d'intensité l'étendue des sons audibles par l'oreille humaine. © Benoit Campion pour Capital

À l'époque de la sortie du WH-1000XM4, Sony avait pour habitude de produire des signatures sonores très chaleureuses et naturelles. C'est différent depuis le 1000XM5, qui produit davantage d'aigus, notamment en raison d'un changement de haut parleurs (passé de 40 à 30mm de diamètre). Mais le M4 profite encore de l'ancienne version 40mm qui produit donc un son très riche en basses et bas médiums. Une caractéristique qu'il est possible d'atténuer en agissant sur le réglage "Clear Bass" dans l’application. Malgré cela, les basses demeurent précises et le rendu sonore, à défaut d'être aussi clair et brillant que nombre de concurrents, conserve toujours une très belle lisibilité, un aspect très naturel et un niveau de détail hors du commun. Par conséquent, les timbres sont très bien respectés. Même constat concernant la dynamique et l'image stéréo. On aurait apprécié un peu plus d'ouverture dans les extrêmes aigus et la zone de présence (les haut-médiums, entre 2 et 5 kHz) mais l'appareil demeure une référence en termes de qualité audio, même 5 ans après sa sortie.

Mesure de la réponse en fréquence : utilisation Bluetooth et filaire avec RBA enclenchée (courbe noire), sans RBA ou en mode d’écoute de l’environnement (courbe en pointillé orange)
Mesure de la réponse en fréquence : utilisation Bluetooth et filaire avec RBA enclenchée (courbe noire), sans RBA ou en mode d’écoute de l’environnement (courbe en pointillé orange) © Benoit Campion pour Capital

Impossible de donner un point à qui que ce soit ici. Les deux appareils sont excellents mais ont une approche différente : le Px7 est basseux mais compense avec beaucoup d'aigus pour un rendu très clair, tandis que le M4 est l'incarnation même d'un son chaleureux. Les départager sera donc une question de goûts. Ex-aequo. B&W Px7 S3 (1-2) – Sony WH-1000XM4.

Isolation / Réduction de Bruit Active : malgré son âge, le WH-1000XM4 se défend très bien

Bowers & Wilkins a des ambitions particulières en matière de réduction du bruit active (RBA). La marque souhaite privilégier une RBA la plus transparente possible, et non la plus puissante comme la majorité des concurrents. En effet, la réduction de bruit a tendance à accentuer les basses fréquences. Malgré cela, nous avons relevé une réduction de l'ordre de 25 à 30 dB en moyenne (sauf dans les basses où il y a encore une bonne marge de progression). Il atténue tout de même mieux les bas médiums/médiums, que l'on peut associer aux voix et aux bruits de roulement, que le Px7 S2 en son temps. Les hautes fréquences sont gommées avec une efficacité équivalente. Il lui manque encore quelques décibels pour s'approcher des meilleurs du secteur en 2025 (certains montent à plus de 35 dB de réduction) mais par rapport au 1000XM4, plus vieux, la performance de B&W est très bonne. Le mode d'écoute de l'environnement est assez naturel également, notamment pour de brèves conversations ou écouter des annonces vocales. Il lui manque encore un peu d'ouverture sur les aigus pour être vraiment transparent.

Mesure d’isolation phonique du Px7 S3 : bruit de référence (courbe noire), isolation phonique “naturelle” (courbe grise), Réduction de Bruit Active (courbe violet).
Mesure d’isolation phonique du Px7 S3 : bruit de référence (courbe noire), isolation phonique “naturelle” (courbe grise), Réduction de Bruit Active (courbe violet). © Benoit Campion pour Capital

Le WH-1000XM4 était la référence en matière de RBA en 2020. Les algorithmes atténuent massivement les basses fréquences jusqu'aux bas médiums. La bonne isolation passive du casque prend ensuite le relais pour les sons plus aiguës. La RBA agit efficacement sur les voix, les bruits de roulement et l'appareil demeure peu sensible au vent. La RBA du 1000XM4 est plus homogène que celle du B&W, mais globalement plus faible de 5 dB environ, sauf dans les basses où il fait mieux que son concurrent. Avec l'âge et les progrès des casques, on est désormais un bon cran en-dessous des meilleurs modèles, mais on ressent tout de même une belle bulle de silence. Là où le bât blesse, c'est sur son mode d'écoute de l'environnement, nettement en retrait. Son rendu accidenté et peu naturel ne permet pas de suivre efficacement une conversation ou de localiser certains sons.

Mesure d’isolation phonique du 1000XM4 : mesure de référence sans casque (courbe noire), isolation phonique “passive” (courbe en pointillé grise), isolation phonique avec Réduction de Bruit Active au maximum (courbe violette), mode d’écoute de l’environnement (courbe orange)
Mesure d’isolation phonique du 1000XM4 : mesure de référence sans casque (courbe noire), isolation phonique “passive” (courbe en pointillé grise), isolation phonique avec Réduction de Bruit Active au maximum (courbe violette), mode d’écoute de l’environnement (courbe orange) © Benoit Campion pour Capital

Le Px7 S3 propose une meilleure réduction de bruit sur l'ensemble du spectre audio à l'exception des basses, où Sony reste meilleur. Malheureusement, le mode d'écoute du 1000XM4 est assez moyen et lui fait manquer le point. B&W l’emporte de justesse. B&W Px7 S3 (2-2) – Sony WH-1000XM4.

Qualité d’appel : les efforts de B&W paient

Le Px7 S3 a nettement progressé comparé à son prédécesseur en termes de captation vocale. Les microphones, bien positionnés, isolent efficacement la voix. Le casque réussit à maintenir une bonne intelligibilité, même en milieu bruyant. Certaines syllabes peuvent être camouflées, mais rien de dramatique en soi. Seul un vent un peu trop fort peut vraiment altérer une conversation.

Le WH-1000XM4 ne déçoit pas complètement, mais la captation s’avère moins aboutie dans les lieux bruyants ou venteux. On profite sans problème d’appels clairs dans un espace calme ou modérément bruyant. Dès que le bruit ambiant s’intensifie, la personne à l’autre bout du fil lutte pour comprendre les paroles. Cela suffit pour un usage ponctuel seulement.

B&W fait mieux dans les environnements sonores complexes. B&W Px7 S3 (3-2) Sony WH-1000XM4.

Autonomie : au coude à coude

Bowers & Wilkins annonce environ 30 heures d’utilisation avec la réduction de bruit active. Nos relevés confirment même un léger dépassement, pour un total de 33 heures. Cette endurance s’avère plus que suffisante pour une utilisation soutenue sur plusieurs jours. Il est aussi possible d’opter pour une utilisation filaire en mini-jack ou via USB-C, mais le casque n’est pas conçu pour fonctionner hors tension.

Le WH-1000XM4 offre au minimum 24 h d'utilisation selon nos tests et peut monter bien au-delà des 30 h. Cela dépend de la réduction du bruit, mais aussi du codec actif (le LDAC étant assez vorace en énergie). Cette plage de temps couvre l’essentiel des besoins nomades, et un cycle de recharge complet demeure relativement court. Malheureusement, il est impossible d’écouter de la musique tout en rechargeant le casque, mais avec une telle autonomie, on s’en accommode aisément. D'autant que l'appareil fonctionne en filaire passif, donc même quand la batterie est à plat. Cela au prix toutefois d'une qualité audio très dégradée.

Les différences sont trop subtiles pour déclarer un vainqueur sur cette manche.
B&W Px7 S3 (3-2) – Sony WH-1000XM4.

Réparabilité : pas un pour relever l'autre

Côté réparabilité, le Px7 S3 ne fait pas mieux que la plupart des casques sans fil actuels. Les coussinets sont amovibles, mais ils constituent la seule partie réellement accessible par l’utilisateur. L'arceau est aussi remplaçable, mais l'opération semble difficile sans compromettre l'intégrité du casque. La marque conseille pour cela de passer par un technicien agréé. La batterie, quant à elle, n’est pas facilement remplaçable, et la marque ne propose pas vraiment de service de pièces détachées.

Pour ce qui est de la réparabilité du WH-1000XM4, c’est globalement la même histoire que chez Bowers & Wilkins : on ne peut changer facilement que les coussinets des oreillettes. Le remplacement de la batterie exige un démontage complexe et des outils spécifiques. Sony ne propose pas non plus de pièces détachées en accès direct. Seuls de rares éléments sont disponibles à l'achat sur le site FixPart.

Pas de point attribué ici non plus. B&W Px7 S3 (3-2) Sony WH-1000XM4.

Rapport qualité/prix : le WH-1000XM4 imbattable

Proposé autour de 429 €, le Px7 S3 se positionne clairement sur le haut de gamme. Il se distingue par son rendu sonor haut de gamme, sa fabrication luxueuse et ses performances très solides en isolation et en appel. Néanmoins, son prix élevé peut faire hésiter, car on trouve sur le marché d’excellents modèles à des tarifs moins corsés. C’est précisément le cas du WH-1000XM4, dont le prix continue de baisser depuis la sortie du WH-1000XM6. On le trouve désormais aux alentours des 230 €, un tarif défiant toute concurrence vis-à-vis de ses performances toujours d'actualité. Il était déjà une référence en 2020, mais il devient encore plus intéressant à un prix aussi bas.

Les deux produits sont excellents, mais la différence de prix est considérable, de sorte qu'on passe aisément son âge au Sony. B&W Px7 S3 (3-3) – Sony WH-1000XM4.

Verdict

Au terme de ce duel, B&W l’emporte si l'on omet la question du prix, et fait match nul en considérant le rapport qualité/prix. Très bien fini et très moderne, le Px7 S3 dispose de quelques sérieux arguments face à un Sony WH-1000XM4 qui commence à sérieusement accuser le poids des années. Pour autant, l'appareil n'est toujours pas désuet et les baisses de prix successives en font même un excellent choix pour qui ne souhaite pas investir 400, voire même 500 euros de nos jours, dans un casque audio haut de gamme récent. Si l'argent n'est pas un problème, alors on vous conseille le Px7 S3, bien plus "futurproof", mais dans le cas contraire, le 1000XM4 demeure un best-seller absolu, toujours hautement recommandable pas moins de 5 ans après sa sortie.

Certains liens sont affiliés et peuvent générer une commission pour Capital. Les prix sont mentionnés à titre indicatif et sont susceptibles d'évoluer. Le contenu présenté a été rédigé en toute indépendance par un journaliste professionnel.