Carlos Tavares vient-il de lâcher une bombe à retardement ? Lors d’un entretien avec Bloomberg, la semaine dernière, le directeur général du constructeur automobile Stellantis s’est dit « prêt pour tout type de consolidation » tant que ses résultats financiers étaient « au niveau adéquat ». Traduction : il n’exclut pas de racheter des concurrents. La presse italienne va plus loin en ce début de semaine et parle d’un scénario plus surprenant : selon le quotidien Il Messaggero, le gouvernement français étudierait un projet de fusion entre Stellantis et son rival français de toujours, le groupe Renault. Une information rapidement démentie, lundi 5 février, par le président de Stellantis, John Elkann.

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