Marshall a su conquérir les oreilles des mélomanes avec ses casques Major, mais n’a pas encore trouvé la formule magique pour tenir tête aux plus grands (en témoigne notre guide des meilleurs casques audio), la faute à quelques faiblesses techniques. Pourtant, la marque mythique croit encore en ses rêves de gloire et revient sur scène avec une troisième version de son fleuron, le Monitor.

Le Monitor III ANC souffle un vent de fraîcheur sur la proposition haut de gamme Marshall. Largement revisité, visuellement presque inchangé, le casque avance une montagne de promesses. Si ce travail en profondeur porte ses fruits, Marshall pourrait bien faire frissonner Sony, Apple ou Bose… d’autant qu’il peut aussi jouer la carte d’un tarif de lancement plus “raisonnable” que nombre de ses rivaux.

Le Marshall Monitor III ANC a été testé en version 2.5.3 du firmware, avec une application Marshall 3.2.11 sous iOS et Android.

Qualité de fabrication : exemplaire (5/5)

Les produits Marshall ont pour eux un design reconnaissable entre mille, et ce Monitor III ANC ne fait pas exception. On retrouve ici les touches habituelles de la marque britannique : une robe noire constituée d’un revêtement caoutchouteux imitation tolex, un logo bien visible et quelques touches laiton. Non seulement réussi du point de vue esthétique, ce casque Bluetooth bénéficie également d’une conception extrêmement soignée.

Le casque exhibe fièrement le câble qui relie les coussinets, partiellement dissimulé dans son double arceau souple. Heureusement, l’épaisse gaine protectrice limite le risque de casse.
Le casque exhibe fièrement le câble qui relie les coussinets, partiellement dissimulé dans son double arceau souple. Heureusement, l’épaisse gaine protectrice limite le risque de casse. © Benoît Campion pour Capital

Son squelette métallique, ses coques épaisses et plus généralement la qualité des matériaux utilisés rassurent. Pour couronner le tout, le casque est maintenant irréprochable sur la souplesse : les oreillettes sont orientables à plat, elles peuvent être repliées vers l’arceau, et ce dernier supporte d’importantes torsions. Tout cela se fait sans compromis sur la légèreté avec seulement 244 grammes sur la balance. On a franchement affaire à un produit à la hauteur de son tarif et de ses ambitions.

Les coussinets s’enlèvent sans effort : il suffit de les faire pivoter légèrement pour les extirper du bloc principal des oreillettes.
Les coussinets s’enlèvent sans effort : il suffit de les faire pivoter légèrement pour les extirper du bloc principal des oreillettes. © Benoît Campion pour Capital

Le Major III ANC s’accompagne d’un joli étui de transport capable d’héberger le casque replié et ses deux câbles fournis (USB-C vers USB-C pour la charge, USB-C vers mini-jack pour l’utilisation filaire). Certains regretteront le passage à un câble droit, esthétiquement très conventionnel, mais c’est le format de l’étui qui nous a plus décontenancés. Son design “chausson aux pommes”, très bombé, n’est pas très discret. On aurait aimé quelque chose de plus facile à ranger, au détriment de l’originalité.

Confort : une excellente expérience (5/5)

Le Monitor III ANC fait aussi mouche sur l’expérience de confort. Les améliorations portées sur cette troisième version propulsent le casque dans les plus hautes sphères sur ce point, les seuls micro reproches que l’on peut lui faire concernent la tendance des coussinets à retenir facilement la chaleur, et le maintien qui n’est pas absolument parfait. Là-dessus, la lignée QC de Bose est encore la référence absolue en la matière.

© Benoît Campion pour Capital

Tous les éléments sont réunis pour porter le casque durant plusieurs heures : le poids très contenu et l’orientation très généreuse des oreillettes, mais aussi la conception des coussinets, le déploiement très généreux de l’arceau et, tout simplement, le design global.

Le Monitor III ANC se positionne très naturellement et aisément sur la tête, et conviendra sans problème à une très large variété de morphologies. Les points d’appui sont très bien répartis et l’effet de pince est également contenu, le casque sait se faire oublier. Qui plus est, l’espace laissé pour les oreilles est bien suffisant, dans les cas plus particuliers, les quelques parties de l’oreillette qui peuvent entrer en contact sont amorties par le moelleux des coussinets ou le tissu devant le haut-parleur.

Prise en main & fonctionnalités : encore quelques améliorations pour atteindre la perfection (4,5/5)

L’interaction avec le Marshall Monitor III ANC est l’un des seuls aspects qui n’a vraiment pas changé entre les deux dernières versions du Monitor, ce qui est une bonne nouvelle. Le Monitor III ANC récupère donc ses alertes sonores variées, ses deux boutons mécaniques et l’emblématique joystick, un attirail fort agréable à utiliser au quotidien. Qui plus est, la quasi-totalité des fonctions du casque est accessible du bout des doigts :

– le joystick multifonction sert à la gestion du volume, des appels, de la lecture musicale, la navigation entre les pistes, l’appairage et l’extinction/mise en tension.

– le bouton “M”, programmable, déclenche au choix un changement d’égalisation sonore, la virtualisation audio 3D maison de Marshall nommée “Soundstage”, la fonction Spotify Tap, ou l’assistant vocal du smartphone.

– le bouton “ANC” permet de basculer entre les différents modes d’isolation

Les deux boutons sont astucieusement dissimulés à l’extrémité des charnières reliant l’arceau aux oreillettes.
Les deux boutons sont astucieusement dissimulés à l’extrémité des charnières reliant l’arceau aux oreillettes. © Benoît Campion pour Capital

Pour rendre l’utilisation des plus intuitive, ces commandes sont complétées par un capteur de détection de port permettant d'automatiser certains aspects du casque (lecture/pause, extinction…), mais son comportement un peu erratique nous a un petit peu déçus. La latence de prise en compte du changement d’état (porté/non porté) est anormalement longue : on doit attendre 3 ou 4 secondes avant que le casque n’arrête ou reprenne la lecture. Espérons que notre cas est isolé, et gageons qu’il soit résolu rapidement par une mise à jour.

© Benoît Campion pour Capital

L’application Marshall a eu tout le temps d’évoluer. Marshall prend très clairement son temps sur ce point, et certains aspects comme l’égalisation mériteraient encore un bon dépoussiérage. Mais au moins, l’évolution se fait dans le bon sens.

En premier lieu, et contrairement à certains concurrents, l’interface conserve une belle clarté et fluidité malgré la multiplication des éléments paramétrables et l’ajout de fonctionnalités. L’application s’embarrasse de peu de fioritures, tout en proposant un niveau de personnalisation satisfaisant : on peut ainsi paramétrer l’intensité de la Réduction de Bruit Active et du mode “Transparence” sur trois niveaux, personnaliser le comportement du mode “Soundstage” (d’ailleurs assez intéressant), celui des deux boutons “M” et “ANC”, et de certaines fonctions élémentaires du casque (alertes sonores, capteur de port, mise en veille).

© Benoît Campion pour Capital

Vous l’aurez remarqué, il n’est ici pas question de gérer la connexion Bluetooth, d’affiner la captation du kit mains libres ou de pousser encore plus loin l’automatisation du comportement du casque.

Connectivité : une mise à jour qui se fait attendre (4/5)

Marshall a toujours été à la page sur la connectivité de ses produits, et c’est ce que nous promet le Monitor III ANC grâce à sa puce Bluetooth 5.3 et la prise en charge garantie du Bluetooth LE Audio, donc du codec LC3 et la fonction Auracast. Cet engagement n’est malheureusement que théorique, cette compatibilité ne sera en effet effective qu’après une mise à jour prévue ultérieurement.

Une fois rallumé, le Monitor III ANC se reconnecte automatiquement aux deux derniers appareils connectés en Bluetooth.
Une fois rallumé, le Monitor III ANC se reconnecte automatiquement aux deux derniers appareils connectés en Bluetooth. © Benoît Campion pour Capital

Sur les autres aspects sans-fil, ce modèle répond présent pour faciliter la vie de l’utilisateur. Les protocoles d’appairage simplifié Google Fast Pair et Microsoft Swift Pair sont pris en charge, la connexion multipoint à deux appareils en simultané est encore une fois de la partie. La stabilité de la connexion est impeccable, la latence quant à elle est un poil élevée en dehors des usages de streaming vidéo via des applications, mais rien qui ne sorte de l’ordinaire.

© Benoît Campion pour Capital

Dans le cas où l’on souhaiterait se passer de la connexion sans-fil, le Monitor III ANC offre un moyen de connexion filaire alternatif : il faut pour cela conserver le casque sous tension et le connecter au moyen du câble USB-C vers mini-jack 3,5 mm fourni. C’est un peu contraignant et on aurait aussi aimé pouvoir l'utiliser directement en USB-C, mais au moins la solution a le mérite d’être proposée, ce qui n’est pas souvent le cas.

Performances sonores : une signature sonore à dompter (4/5)

Marshall a-t-il enfin passé l’ultime cap sonore avec ce Monitor III ANC ? C’est en tous les cas ce que le fabricant laisse entendre grâce à la refonte acoustique de son casque et ses nouveaux haut-parleurs. Mais les vieilles habitudes ont encore la vie dure…

Le caractère sonore du Monitor III ANC est en parfaite cohérence avec les habitudes du constructeur britannique et dans la lignée directe du Monitor II ANC : il est pensé pour être généreux, énergique, “nerveux”, et donc assez nettement coloré… mais non sans contrôle. Pour autant, il n’est pas un simple calque de son prédécesseur, sa restitution sonore gagne un peu en propreté, en précision, en “ouverture” ainsi qu’en définition dans les aigus.

Comme Sony et son WH-1000XM5, Marshall a sélectionné des haut-parleurs de plus petit diamètre pour son Monitor III ANC, de 32 mm. Les basses sont un peu moins profondes, mais plus équilibrées.
Comme Sony et son WH-1000XM5, Marshall a sélectionné des haut-parleurs de plus petit diamètre pour son Monitor III ANC, de 32 mm. Les basses sont un peu moins profondes, mais plus équilibrées. © Benoît Campion pour Capital

Le rendu par défaut du Monitor III ANC est globalement assez plaisant puisqu’il se garde de toute dérive importante, qui le rendrait artificiel et donc clivant. Sans refouler son identité, on s’attendait quand même à ce que le fabricant trouve un plus juste milieu avec ce modèle, notamment en ce qui concerne l’équilibre entre bas-médiums et les haut-médiums/aigus. La base acoustique étant particulièrement bonne, cela aurait permis au casque de prétendre à une très bonne note.

Mesure de la réponse en fréquence : la désactivation de la Réduction de Bruit Active (courbe bleue en pointillés) a très peu d’incidence sur la signature sonore, contrairement au modèle précédent.
Mesure de la réponse en fréquence : la désactivation de la Réduction de Bruit Active (courbe bleue en pointillés) a très peu d’incidence sur la signature sonore, contrairement au modèle précédent. © Benoît Campion pour Capital

Par défaut, la signature en “W” du Monitor III ANC a une nouvelle fois tendance à starifier la seconde partie du spectre audio : cela fait son petit effet sur la présence des voix et de multiples autres instruments, ils paraissent plus percutants, plus tranchants, tout devient plus “clair” et facilement détectable… En contrepartie, ce traitement “frontal” devient éreintant lorsqu’on écoute des titres déjà naturellement généreux dans cette zone… et les probabilités sont plus élevées sur des mixages touchant aux esthétiques rock et metal. Assez ironique compte tenu de la clientèle ciblée par Marshall.

Mesure de la réponse en fréquence : rendu par défaut avec RBA (courbe noire), rendu après égalisation personnalisée (courbe pourpre).
Mesure de la réponse en fréquence : rendu par défaut avec RBA (courbe noire), rendu après égalisation personnalisée (courbe pourpre). © Benoît Campion pour Capital

Sans assurer un retour à l’équilibre parfait, les quelques retouches possibles calment heureusement les ardeurs du casque dans les aigus tout en redonnant un peu de corps/de rondeur. L’irrégularité des aigus persiste avec un pic de brillance encore bien audible, cela dit le son devient plus doux et naturel. Les performances sont alors très satisfaisantes.

Isolation : une bonne atténuation du bruit, un mode “Transparence” perfectible (4/5)

Marshall n’est pas connu pour être un ténor dans l’exercice de la Réduction de Bruit Active, et ce n’est pas pour cela que le Monitor III ANC se fera un nom sur le marché, bien que ses performances en la matière soient bonnes.

Le casque compte déjà sur une isolation phonique passive “naturelle” solide, permise par la conception spécifique des coussinets. Sans atteindre le meilleur résultat de nos mesures, détenu actuellement par le WH-1000XM5 qui brille tout particulièrement dans la région clé des médiums, le Monitor III ANC délivre une atténuation significative sur les hautes fréquences, avec un résultat excellentissime dans les plus aiguës.

Mesure d’isolation phonique : bruit de référence (courbe noire), isolation passive (courbe grise), Réduction de Bruit Active au réglage max (courbe violette).
Mesure d’isolation phonique : bruit de référence (courbe noire), isolation passive (courbe grise), Réduction de Bruit Active au réglage max (courbe violette). © Benoît Campion pour Capital

La Réduction de Bruit Active prend le relais avec une belle efficacité sur la première partie du spectre. Si elle n’est pas tout à fait impressionnante dans les fréquences les plus graves (grossièrement les résonances les plus graves dans les transports, les cabines d’avions, partiellement le roulement des véhicules), les 15 dB de réduction proposent un confort acceptable. L’efficacité maximale de cette dernière se situe dans les fréquences basses et bas-médiums où l’on jouit cette fois d’une atténuation de 25 dB environ : un bon cran en dessous des recordmen, pour autant, l’action sur la présence des voix humaines est appréciable. Qui plus est, la RBA continue d’agir sur des fréquences bien plus élevées (après 1 kHz) pour gagner encore en isolation, ce qui est assez rare pour le notifier. En somme, le Marshall Monitor III ANC offre une bulle sonore agréable, sans être parfaitement transcendante.

Mesure d’isolation phonique : bruit de référence (courbe noire), isolation passive (courbe grise), mode d’écoute de l’environnement sonore “Transparence” (courbe orange).
Mesure d’isolation phonique : bruit de référence (courbe noire), isolation passive (courbe grise), mode d’écoute de l’environnement sonore “Transparence” (courbe orange). © Benoît Campion pour Capital

Le mode d’écoute de l’environnement sonore “Transparence” est un peu décevant puisque la perception est relativement voilée par une chute de la captation des aigus, donnant ainsi l’impression d’être encore coupé du monde. Tenir temporairement une conversation ou détecter une alerte vocale dans un lieu public est largement faisable, c’est moins le cas pour localiser rapidement les sources sonores qui gravitent autour de nous, notamment les dangers potentiels.

Qualité d’appel : exploitable dans de nombreuses situations (4/5)

La captation vocale est très rarement excellente sur les casques Bluetooth, même sur les modèles haut de gamme. Le Monitor III ANC affiche cependant une belle performance en la matière avec une légère mais sensible amélioration des performances de son prédécesseur.

© Benoît Campion pour Capital

Ce n’est pas tant par la neutralité et propreté impeccable du son que ce modèle marque des points – on perçoit en effet à l’autre bout du fil une voix légèrement “voilée” par des artefacts et une réponse en fréquence assez accidentée – mais plutôt, et c’est bien le plus important, par la manière avec laquelle il préserve l’intelligibilité de la voix.

Il est en effet possible de tenir une conversation dans des conditions très convenables en ville, dans des rues modérément bruyantes, dans un lieu public assez fréquenté, sans avoir à parler spécifiquement fort ou se répéter. Il n’y a que dans les conditions les plus difficiles (rue en travaux, café bruyant, environnement très venteux) où le niveau et la complexité du bruit deviennent trop difficiles à gérer pour l’algorithme intégré.

Autonomie : absolument infatigable (5/5)

Dans la plus pure tradition des produits Bluetooth Marshall, le Monitor III ANC se pose comme un parangon d’endurance avec plus de 70 h d’utilisation par charge. Nous avons effectivement pu vérifier cette promesse étourdissante : notre exemplaire de test s’est épuisé après 69 h et 12 minutes d’utilisation continue avec la Réduction de Bruit Active.

Un score tout bonnement monumental. Qui plus est, on peut espérer étendre de plus de 20 heures cette durée en désactivant cette fonction, autant dire que les sessions de recharge seront peu fréquentes, un point avant tout bénéfique pour la durée de vie de la batterie intégrée. Le temps de recharge complète est quant à lui dans la fourchette attendue des casques Bluetooth de ce type, à peu près 2 h.

Réparabilité : un démontage facilité, mais des pièces non disponibles (3/5)

Le Monitor III ANC conserve les mêmes atouts et défauts que son prédécesseur. Théoriquement, ce casque Bluetooth facilite grandement les réparations : les coussinets se détachent avec une simplicité enfantine et l’assemblage du casque permet de dévisser sans trop de soucis certaines parties (double arceau, charnières, châssis des oreillettes). On peut notamment accéder à la batterie et au circuit interne.

© Benoît Campion pour Capital

Pour le remplacement des différents composants, c’est malheureusement une autre histoire puisque le fabricant ne donne pas officiellement accès à ces dernières. Historiquement, Marshall dispose d’une plateforme en ligne de pièces détachées pour se procurer plus simplement les coussinets et les câbles, mais rien n’est encore disponible sur cette dernière au moment où nous rédigeons ces lignes, ce qui est fort regrettable. On peut tout de même signaler l’effort du fabricant d’optimiser au mieux la durée de vie de la batterie avec son option “Préserver la batterie”.

Les deux meilleures alternatives aux Marshall Monitor III ANC

Bose QuietComfort Ultra

Le QC Ultra de Bose a drastiquement révisé sa politique tarifaire depuis son lancement en 2023 pour atteindre des sphères plus raisonnables. Également à 350 €, ce casque constitue un rival redoutable pour le Marshall Monitor III ANC, et à moins de rechercher absolument une autonomie record, le QuietComfort Ultra a encore une longueur d’avance.

Sony WH-1000XM4

S’il accuse quelque peu de son âge sur les fonctionnalités les plus sophistiquées, le valeureux WH-1000XM4 a encore de beaux restes. Même après presque 5 ans d'existence, il offre encore tout le nécessaire : un confort impeccable, toute la panoplie des fonctions les plus utiles, une bonne Réduction de Bruit Active et un rendu sonore admirablement bien défini. À savoir que son mode d’écoute de l’environnement est son point le plus faible et que l’autonomie ne bat pas des records (24h avec RBA environ). Mais pour 100 euros de moins, on lui pardonne.

Conclusion

Le Monitor III ANC ne cassera pas l’ordre établi au sommet, du moins, il mérite sa place sur le marché et constitue un bon choix. Le fleuron de Marshall ne compte pas que sur son charme esthétique, il nous offre aussi une expérience bien aboutie, sans faux pas, et marque un maximum de points sur le confort d’utilisation et la qualité de conception. Encore quelques petits efforts sur le rendu sonore et l’isolation, et il ne fait aucun doute que la prochaine fois sera celle de la consécration.

Note du produit : 4,3/5

  • Qualité de fabrication : 5/5
  • Confort : 5/5
  • Prise en main & fonctionnalités : 4,5/5
  • Connectivité : 4/5
  • Performances sonores : 4/5
  • Isolation : 4/5
  • Qualité d’appel : 4/5
  • Autonomie : 5/5
  • Réparabilité : 3/5

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