Quand on a de l’argent et du goût pour les choses de la terre, pourquoi ne pas s’acheter des forêts ou des vignobles ? Des actifs tangibles, immuables, décorrélés des marchés financiers et qui, avec les crises sanitaire et écologique, donnent de plus en plus de sens à vos investissements. Les chefs d’entreprise qui ont vendu leurs affaires et qui se retrouvent à la tête d’un joli capital en sont très friands. Les plus ambitieux peuvent reprendre une forêt ou un domaine viticole en production. Les autres préféreront s’en occuper de loin et se contenteront d’acheter le foncier rural et de le mettre en location auprès d’un exploitant forestier ou d’un viticulteur, qu’ils visiteront de temps en temps. Mais ce n’est pas donné à tout le monde. Notamment pour les amoureux de la vigne.

La suite est réservée aux abonnés
Abonnez-vous à Capital à partir de 1€ le premier mois
  • Accès à tous les articles réservés aux abonnés, sur le site et l'appli
  • Le magazine en version numérique
  • Navigation sans publicité
  • Sans engagement