A l’exception d’un bug - rapidement résolu par son inventeur Satoshi Nakamoto - entraînant une inflation imprévue du nombre de bitcoins peu après la création du réseau, la blockchain Bitcoin n’a jamais été prise en défaut : fonctionnelle 24 heures sur 24, elle n’a jamais été piratée.

Sécurisé par des milliers de machines (ordinateurs appelés mineurs), et donc in fine par la consommation d’électricité, le réseau est devenu au fil des années de plus en plus coûteux à attaquer. Une récente étude, intitulée «Breaking BFT : Quantifying the Cost to Attack Bitcoin and Ethereum» (que l’on peut traduire par «Détruire la tolérance aux pannes byzantines : évaluer le coût pour attaquer Bitcoin et Ethereum»), publiée par trois chercheurs de la firme d’analyses blockchain Coin Metrics lève le voile sur ce que coûterait une attaque du réseau Bitcoin.

Qu’est-ce que BFT (Byzantine Fault Tolerance) ou la tolérance aux pannes byzantines ?

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