Article sponsorisé par Praemia REIM France

D’abord stabilisés à des niveaux très faibles par rapport aux années précédentes, les volumes d’investissement dans l’immobilier repartent progressivement à la hausse.

Un retour à meilleure fortune pour l’immobilier ?

Antoine Depigny : L’immobilier vient de traverser deux crises successives : la première causée par la crise sanitaire avec des conséquences directes sur l’immobilier de bureau, de commerce, et l’hôtellerie ; la seconde causée par une forte inflation et la hausse des taux qui s’en est suivie, avec un impact sur les valeurs immobilières n’épargnant aucune typologie d’actifs. L’immobilier de bureau a subi à la fois les effets de cette hausse rapide des taux et de la généralisation du télétravail post crise sanitaire.

Sur la base des données observées à la fin de l’année 2024 et au cours du premier semestre 2025, les valeurs semblent se stabiliser, à l’exception du secteur de l’immobilier de bureau, pour lequel une approche prudente demeure recommandée. En l’espace d’un an, la Banque centrale européenne a procédé à huit baisses de ses taux directeurs, favorisant le redémarrage progressif des investissements. Le résidentiel et l’hôtellerie ont commencé à se revaloriser, les valeurs sont quasiment stabilisées pour l’immobilier de santé et les commerces de proximité type pied d’immeubles qui ont le mieux résisté pendant la crise sanitaire.

Merci pour ces éclairages. Quelles possibilités s’offrent à un épargnant qui voudrait tirer parti de cette conjoncture ?

A.D. : La clé, c’est d’abord de bien calibrer la durée de ses placements et de veiller à les diversifier. Partant de là, pour un placement de long terme avec une recherche de rendement et dans une optique de diversification de son allocation d’actifs financiers, les SCPI sont intéressantes.

Long terme et diversification : les points clés des SCPI pour s’intégrer dans une stratégie patrimoniale

Elles peuvent donner facilement accès à bien d’autres typologies d’investissement que l’immobilier résidentiel – contrairement à un investissement immobilier en direct, et déchargent l’épargnant du souci de la gestion locative des biens. Elles permettent aussi d’accéder à des biens immobiliers situés à l’étranger et de bénéficier, dans certains cas, d’une fiscalité potentiellement plus avantageuse sur les revenus issus de ces biens par rapport à la fiscalité française.

Les SCPI comprenant généralement plusieurs biens immobiliers et plusieurs locataires, le risque locatif est réduit par rapport à un investissement immobilier locatif en direct avec un locataire unique.

A la lumière de ces éléments, on comprend aisément pourquoi la durée de détention moyenne des SCPI dépasse 20 ans.

Quelles SCPI vous paraissent les plus pertinentes ? On voit bien que toutes les typologies immobilières n’évoluent pas de la même manière sur une période donnée.

Quelle SCPI choisir en 2025 ?

A.D. : Chez Praemia REIM France, nous avons une forte conviction sur l’immobilier de santé à long terme. Pourquoi ? Parce que cette typologie immobilière est moins sensible aux cycles économiques que l’immobilier de commerce ou l’immobilier d’entreprise par exemple, et surtout elle est portée par une demande croissante issue directement des dynamiques démographiques. La question du « bon timing » pour investir dans cette classe d’actifs immobilière se pose donc avec moins d’acuité que pour d’autres. C’est aussi une classe d’actifs assortie de baux longs et par ricochet d’une bonne visibilité sur les revenus. Prenez Primovie, notre SCPI spécialisée sur les infrastructures de santé et d’accompagnement des seniors qui est géographiquement diversifiée avec plus de 300 actifs principalement en France, en Allemagne et en Italie. Nous avons de fortes convictions en la durabilité de ce type d’investissement face aux besoins de financement structurellement croissants des Ehpad ou des établissements de santé. Cela en fait aussi un investissement porteur de sens en contribuant à la capacité de l’Europe à prendre soin de sa population. En résumé, c’est une forme d’épargne à la fois pérenne, offrant de la visibilité sur les revenus futurs et porteuse de sens.

L’investissement en parts de SCPI présente des risques dont le risque de perte en capital. Les revenus potentiels du fonds ainsi que la valeur des parts ne sont pas garantis. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Ils peuvent varier à la hausse comme à la baisse en fonction de la performance du fonds, de l'évolution des marchés immobiliers et de la conjoncture économique. L'investissement est considéré comme peu liquide et doit être envisagé sur le long terme. La société de gestion ne garantit pas la revente des parts.

La rédaction n'a pas participé à la réalisation de cet article.