En été, Julie n’est pas pressée de rentrer chez elle. Et pour cause, son petit logement, situé sous les toits en proche banlieue parisienne, se transforme en véritable bouilloire énergétique lorsque le mercure s’approche des 30 degrés. “Quand le soleil tape, j’ai la sensation d’étouffer dans mon appartement, il n’y a pas d’air et la température peut dépasser les 40 degrés en période de canicule, comme c’était le cas l’année dernière, raconte la trentenaire qui travaille dans le marketing. L’été, ce n’est pas viable, j’ai l’impression de vivre dans un sauna”. Il faut dire que l’appartement de Julie, situé en pleine ville au dernier étage d’un vieil immeuble mal isolé, est exposé plein sud et n’est pas équipé de volets. Les trois fenêtres de toit du logement laissent passer les rayons du soleil et la chaleur n’en finit plus de s’accumuler au fil de la journée.

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