Au second semestre 2022, les prix de l’immobilier rochelais ont continué de progresser à cause d’un nombre de mises en vente insuffisant pour la demande. Mais, «dès janvier, le nombre d’acheteurs a brutalement diminué, l’envolée des prix s’est alors arrêtée et nous avons dû ajuster rapidement certains tarifs à la baisse pour que les biens soient visités», constate Gilles Desvallois, directeur des agences Orpi-Desvallois. Ce retournement de marché a été plus marqué pour les grands appartements que pour les petites surfaces, et les acheteurs ont soudainement boudé tous les logements à rafraîchir ou à rénover, notamment ceux qui affichaient de mauvaises performances énergétiques.

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