
Nouveau mariage, mort annoncée, carburant coupé à l’eau… Michel Édouard Leclerc et ses magasins ont été pris pour cible sur les réseaux sociaux dans des publications «manipulatrices ou carrément complotistes», s’est expliqué le principal intéressé. Dans une longue publication partagée sur son blog et ses réseaux sociaux lundi 18 août, le très médiatique gérant des centres E. Leclerc a préféré rassurer ses «fidèles abonnés» face aux «fakes personnels sur Facebook, Google et TikTok».
Certaines publications ont annoncé pour la troisième fois le mariage de Michel Édouard Leclerc, démenti par ce dernier, tout comme sa «mort soudaine» partagée elle-aussi sur les réseaux sociaux. «Là, ce sont mes enfants qui ont d'abord eu un petit choc. Mais vous me connaissez, j'ai encore du taf pour faire baisser les prix, il fallait donc que je ressuscite», a-t-il ironisé.
E. Leclerc soupçonné de vendre trop de produits halal
Autre fausse information que Michel Édouard Leclerc s’est empressé de démentir, la rumeur disant que E. Leclerc «coupe son carburant avec de l'eau». «Alors que l'effet produit, c'est d'arrêter la combustion des moteurs», a-t-il rétorqué. D’autres fakes news sont un peu plus drôles, comme celle qui a révélé que les villes bretonnes, d’où il est origine, de Concarneau et de Landerneau lui ont dédié un nom de rue.
«Enfin, depuis 3 jours, voilà qu'on m'interpelle et voudrait me faire réagir parce que j'aurais préconisé 60% de produits halal chez Leclerc», a-t-il développé. Si cette nouvelle information est fausse, Michel Édouard Leclerc a néanmoins expliqué que son «enseigne se donne pour mission de servir les consommateurs de toute confession religieuse et... alimentaire». «Je prêche pour la paix des clochers et des minarets» s'est-il défendu.


















