Comme les versions précédentes, la Galaxy Watch 7 a ajouté sa pierre à l’édifice Samsung pour perpétuer son existence sur le marché des montres connectées. Il n’est toujours pas question de révolutionner le genre ni de confronter les rois du petit prix, mais bien de revoir doucement la copie précédente pour contenter les aficionados. À cette fin, la montre la plus accessible de Samsung met en avant un gain notable de performances de calcul, un suivi cardio/GPS plus précis, un meilleur accompagnement sportif/santé, sans changement sur l’autonomie ni même le prix de lancement.

Actuellement aux alentours de 180 / 280 euros selon la version, on aboutirait à un séduisant rapport qualité/prix si les promesses sont tenues, et même une belle alternative à la très fraîche Galaxy Watch 8 dont le ticket d’entrée bondit à 380 euros. Y’a-t-il un coup à jouer pour celles et ceux en quête d’une bonne montre connectée pour accompagner leur smartphone Android ? C’est ce que l’on va voir à travers ce test.

La Galaxy Watch 7 se décline en quatre versions : 40 mm (notre modèle de test), 40 mm avec 4G, 44 mm et 44 mm avec 4G. Nous l’avons testée avec One UI 6 / War OS 5, firmware L3000XXU1AYE7.

Qualité de fabrication : on prend les mêmes et on recommence (4/5)

Les changements introduits par la septième génération de la Galaxy Watch se concentrent en interne. C’est sans surprise qu’on retrouve une Galaxy Watch 7 très proche de sa prédécesseure en matière de conception. La seule différence notable tient sur l’épaisseur totale du boîtier, qui passe à 13,5 mm (écran et capteur au dos compris). C’est environ 0,7 mm de plus que la Galaxy Watch 6 et 1 mm de plus que sa rivale pommée, l’Apple Watch Series 10.

Notre modèle de 40,4 mm de diamètre pèse 56 g (28,9 g sans le bracelet fourni)
Notre modèle de 40,4 mm de diamètre pèse 56 g (28,9 g sans le bracelet fourni) © Benoit Campion pour Capital

Au poignet, la montre de Samsung conserve sa discrétion, ce qui est d’autant plus le cas avec le format 40 mm de notre exemplaire de test. La Galaxy Watch 7 est compacte, très légère et elle épouse bien le poignet. Le bracelet fourni ne dénote pas en matière d’élégance, en revanche, on le trouve peu adapté à une utilisation sportive : il retient bien la transpiration et peut ainsi causer de légères irritations cutanées selon les cas, ce fut malheureusement le nôtre. Qui plus est, le matériau blanc se décolore rapidement.

Le bracelet de la montre peut être changé par un modèle issu du fabricant ou au format 20 mm avec barrettes à ressorts Le système pour détacher le bracelet fourni est d’ailleurs très pratique
Le bracelet de la montre peut être changé par un modèle issu du fabricant ou au format 20 mm avec barrettes à ressorts Le système pour détacher le bracelet fourni est d’ailleurs très pratique © Benoit Campion pour Capital

Pour ce qui est de la qualité de conception à proprement parler, la Galaxy Watch 7 est réussie. La montre de Samsung se base sur un boîtier en aluminium couplé à un verre saphir avec des finitions très propres. Le constructeur met en avant une certification IP68, donc une résistance certaine contre l’infiltration d’eau et de poussières, couplée à une certification MIL-STD-810H (norme militaire américaine). Il faudra cependant la tenir à distance des situations à risque en matière de pression (plongeons, plongée etc. car 5 ATM).

Écran : précis, riche et lumineux (5/5)

Pas de modification à l’horizon pour l’écran de la Watch 7, et pourquoi s’en plaindre puisqu’il était déjà excellent. La montre compte sur sa dalle Amoled de 1,3” (1,5” pour le modèle 44 mm) de 432 x 432 px, offrant un confort de lecture irréprochable. Pas de changement sur la luminosité, là encore très satisfaisante, qui peut atteindre jusqu’à 2000 nits. Nous n’avons eu aucun problème pour consulter les informations de la montre même en plein soleil.

L’affichage permanent (Always On) est bien évidemment de la partie sur cette montre
L’affichage permanent (Always On) est bien évidemment de la partie sur cette montre © Benoit Campion pour Capital

Le comportement du capteur de luminosité de la montre, chargé d’adapter automatiquement le réglage de luminosité en fonction de la lumière ambiante, ne nous a réservé aucune mauvaise surprise. Il s’est montré à la fois réactif et pertinent, dans les changements relativement soudains comme en pleine nuit, où le réglage le plus faible reste assez doux. Si l’on porte la montre pendant le sommeil, mieux vaut tout de même assurer le coup en basculant sur le mode idoine pour éviter d’être dérangé.

Ergonomie : une expérience agréable et hautement personnalisable (4,5/5)

La Galaxy Watch 7 a été la première montre connectée à exploiter Wear OS 5, rejoint depuis par la Pixel Watch 3 de Google, entre autres. Au menu, quelques améliorations d’affichage sur la liste d’application, sur les cadrans et sur la consommation d’énergie. Comme toujours, Samsung y ajoute sa surcouche propriétaire (One UI 6), que ce soit sur les smartphones ou les accessoires connectés pour pousser les apps/fonctionnalités au sein du même “écosystème”.

L’écran tactile de la Galaxy Watch 7 semble être un peu plus en difficulté que certaines autres montres lorsqu’il s’agit d’interagir avec lui avec des mains humides (eau, sueur)
L’écran tactile de la Galaxy Watch 7 semble être un peu plus en difficulté que certaines autres montres lorsqu’il s’agit d’interagir avec lui avec des mains humides (eau, sueur) © Benoit Campion pour Capital

Pour qui n’a pas eu l’occasion de se frotter à une montre sous Wear OS, on peut dire que la découverte est simple. La montre accompagne d’emblée l’utilisateur sur les rudiments, des différentes façons d'interagir en passant par les éléments relatifs à la navigation, notamment les “cartes” faisant office de widgets. Une journée ou deux suffisent pour acquérir les premiers réflexes. Prendre un peu de temps pour personnaliser les éléments principaux (cadran, cartes, application, raccourcis) n’est quand même pas un luxe pour se concentrer en priorité sur les fonctionnalités les plus utiles, la Galaxy Watch 7 étant riche en paramètres et informations.

Les raccourcis sont intuitifs : balayer vers le bas pour afficher les paramètres rapides, vers le haut pour afficher le menu des applications, vers la droite pour les notifications, vers la gauche pour faire défiler les cartes.
Les raccourcis sont intuitifs : balayer vers le bas pour afficher les paramètres rapides, vers le haut pour afficher le menu des applications, vers la droite pour les notifications, vers la gauche pour faire défiler les cartes. © Benoit Campion pour Capital

Plus globalement, on peut dire que la Galaxy Watch 7 offre tout le nécessaire pour naviguer confortablement en matière de puissance de calcul et de possibilités de contrôle. Nous n’avons relevé que quelques brefs et très rares ralentissements sur toute notre période de test. L’interaction passe par l’écran tactile (appuis/swipes) et un duo de boutons mécaniques. Pas de couronne donc, mais son absence n’est pas trop dommageable dans la plupart des cas. Il est aussi possible de commander la montre à la voix (via Google Assistant ou Bixby, uniquement en ligne) ou par des gestes (pincements, mouvement du poignet, poing fermé).

On apprend très vite à compter sur les raccourcis des boutons : retour au cadran, en arrière à la dernière app ouverte ou à une application spécifique définie, déclenchement de l’assistant vocal, du paiement sans contact, mise en pause de l’activité sportive…
On apprend très vite à compter sur les raccourcis des boutons : retour au cadran, en arrière à la dernière app ouverte ou à une application spécifique définie, déclenchement de l’assistant vocal, du paiement sans contact, mise en pause de l’activité sportive… © Benoit Campion pour Capital

On l’a dit, la Galaxy Watch 7 ne manque pas de paramètres pour affiner très précisément son expérience, mais elle ne lésine pas non plus sur les applications, merci Wear OS. On a donc accès au généreux catalogue du Play Store Google, un énorme plus pour retrouver ses applications favorites et pour personnaliser en profondeur son cadran. Les aficionados de Samsung retrouveront aussi la galerie d’app du géant coréen.

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Côté smartphone, l’application principale pour synchroniser les données et personnaliser plus confortablement la montre est toujours la même, à savoir Galaxy Wearable. Rien à redire sur la navigation et les possibilités offertes. La consultation des données santé/sport passe néanmoins par une seconde application, Samsung Health, qui a aussi le bon ton de rester simple et lisible, parfaitement traduite. Première limitation majeure néanmoins, la montre n’est utilisable qu’avec un terminal sous Android (11 minimum), excluant de fait les iPhone.

© Benoit Campion pour Capital

Pour terminer sur l’expérience d’utilisation, la Galaxy Watch 7 gagne sur sa devancière une capacité de stockage doublée, 32 Go pour stocker applications, musique (la montre prend en charge de nombreux formats audio), cartes hors-ligne de Google Maps... Elle se connecte en Wi-Fi ou Bluetooth (4G disponible uniquement sur certaines versions), cependant, une seconde limite majeure apparaît ici : si on exclut la connexion avec le smartphone, l’appairage Bluetooth ne peut se faire qu'avec des appareils audio. Impossible de coupler directement un capteur externe, ce qui refroidira certains sportifs.

© Benoit Campion pour Capital

Il y a heureusement moins de limitations pour le paiement sans contact : Samsung Wallet est le service utilisé par défaut, mais il est tout à fait possible de passer par Google Wallet. Enfin, notons la présence d’un haut-parleur et d’un microphone pour répondre aux appels, dicter des messages, faire un enregistrement vocal… On a vu mieux en matière de qualité et de puissance sur une montre connectée, mais cela suffit pour dépanner. D’ailleurs, il est aussi possible de répondre aux messages textuels de diverses manières directement via la montre.

Fonctions sport & santé : un suivi logiciel complet (4/5)

La Galaxy Watch 7 mise grandement sur l'accompagnement santé et sportif, qui passe par des améliorations matérielles et logicielles. Sur ce premier plan, la montre de Samsung est déjà bien équipée en matière de capteurs pour une montre connectée lifestyle (cardiofréquencemètre, altimètre, boussole, accéléromètre, gyroscope, capteur de température…). Conscient des améliorations nécessaires sur la précision et la fiabilité, Samsung a néanmoins profité de cette version pour améliorer les choses sur le plan du suivi cardiaque avec un tout nouveau capteur BioActive.

Mesure du suivi cardiaque : Galaxy Watch 7 (rouge) VS ceinture Polar H10 en référence (bleu). Segment vélo en haut, fractionné en bas
Mesure du suivi cardiaque : Galaxy Watch 7 (rouge) VS ceinture Polar H10 en référence (bleu). Segment vélo en haut, fractionné en bas © Benoit Campion pour Capital

Et il y a effectivement du mieux. On s’attendait à moins de décrochages/artefacts, mais le suivi cardiaque se tient dans une marge d’erreur raisonnable, relativement proche de notre capteur de référence. Cela dit, on ne peut pas dire que la montre soit un exemple de fiabilité : certaines sorties sont suffisamment représentatives pour être exploitées, analysées et comparées, et parfois, le capteur perd un peu les pédales sans que l’on sache vraiment pourquoi.

Mesure du suivi cardiaque : Galaxy Watch 7 (rouge) VS ceinture Polar H10 en référence (bleu). Course à pied en haut, autre session de fractionné en bas
Mesure du suivi cardiaque : Galaxy Watch 7 (rouge) VS ceinture Polar H10 en référence (bleu). Course à pied en haut, autre session de fractionné en bas © Benoit Campion pour Capital

Pour rester dans l’activité sportive, la Galaxy Watch 7 propose tout ce qu’on est en droit d’attendre sur un modèle du genre. De très nombreuses activités sont représentées dans le menu dédié, avec pour chacune la possibilité d’affiner l’affichage des données pendant l’effort et paramétrer certains objectifs à atteindre. Pas question de suivre un itinéraire ou de paramétrer très profondément le comportement de la montre, mais rien de surprenant. Comme d’habitude, un résumé fourni de toutes les informations récoltées est ensuite disponible via la montre ou le smartphone.

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C’est d’ailleurs via l’application Samsung Health qu’on consultera ces données, et qu’on accédera aussi à toutes les fonctionnalités autour du sport et de la santé. Et elles sont légion. Pour terminer sur le volet purement sportif, l’application consacre une partie de son interface au coaching avec une jolie variété de vidéos, mais aussi à du coaching en temps réel avec la montre pour la course à pied. Étrangement, même si nous remplissons les conditions, nous n’avons pas pu y accéder.

L’électrocardiogramme et la mesure de tension artérielle passent obligatoirement par une autre application, Samsung Health Monitor, uniquement disponible sur le store Samsung, donc les smartphones de la marque.
L’électrocardiogramme et la mesure de tension artérielle passent obligatoirement par une autre application, Samsung Health Monitor, uniquement disponible sur le store Samsung, donc les smartphones de la marque. © Benoit Campion pour Capital

La santé est un volet très important au sein de cette application. En sus des nombreuses données récoltées par la montre (fq. cardiaque, VFC, SpO2, température, sommeil…), l’utilisateur peut renseigner son régime alimentaire, la quantité d’eau bue, la pression artérielle, la glycémie… L’application dispense alors de nombreux conseils plutôt sensés, ainsi qu'un score de santé.

© Benoit Campion pour Capital

Pour ce qui est du suivi du sommeil, la Galaxy Watch 7 nous a paru faire un travail convenable. Nous n’avons malheureusement pas les outils pour analyser précisément la pertinence des informations récoltées par la montre, mais au moins les heures d’endormissement et de réveil, même au milieu de la nuit, collaient avec la réalité. La véritable valeur ajoutée provient de Samsung Health, qui dispense là encore pas mal de conseils sur le sujet, et même un “coaching” plus poussé que chez beaucoup de concurrents.

© Benoit Campion pour Capital

Pour boucler la boucle, on y trouve aussi un petit univers autour de la médiation et de la gestion du stress. Là encore, l’utilisateur est amené à interagir en renseignant certaines infos pour assurer un suivi plus précis et sur le long cours. Des exercices variés sont disponibles gratuitement, ce qui est bien trop rare chez la concurrence pour être notifié.

GPS : encore beaucoup de progrès à faire (2,5/5)

Samsung annonce une amélioration notable de la géolocalisation pour sa Galaxy Watch 7 grâce à une nouvelle puce GPS/GNSS double fréquence, spécificité assez rare sur des modèles à ce prix d’ailleurs. Mais la simple intégration de la puce ne fait pas tout, on reste quand même déçu lorsqu’on constate les performances de la montre.

En haut : tracé de la Galaxy Watch 7 (bleu) VS tracé de référence (rouge) sur course à pied, qui n’est pas parfait mais bien plus proche de la réalité. En bas : tracé de la Galaxy Watch (rouge) VS tracé de référence (rouge) sur une portion de balade en vélo aller/retour. On remarque très bien les décrochages et les zigzags
En haut : tracé de la Galaxy Watch 7 (bleu) VS tracé de référence (rouge) sur course à pied, qui n’est pas parfait mais bien plus proche de la réalité. En bas : tracé de la Galaxy Watch (rouge) VS tracé de référence (rouge) sur une portion de balade en vélo aller/retour. On remarque très bien les décrochages et les zigzags © Benoit Campion pour Capital

Non pas que la géolocalisation de la montre soit loin du tracé original (en tous les cas dans des conditions favorables), mais il manque tout de même furieusement de précision et de fiabilité. Les approximations/zigzags sont nombreux et on observe quelques déviations notables. Autre conséquence logique, les distances parcourues/allures/vitesses annoncées sont en permanence trop généreuses par rapport à la réalité. L’effet est accentué dès qu’on évolue dans un environnement plus complexe, autant dire qu’il ne faudra pas trop se fier à la montre dans ce cas.

Autonomie : une endurance bien limitée (2/5)

À l’instar de sa rivale, l’Apple Watch, la question de l’autonomie demeure le gros point noir des Galaxy Watch. Et cela ne change pas vraiment avec cette septième édition, malgré les promesses du constructeur concernant l’efficacité du nouveau processeur. Notre exemplaire de test équipé d’une batterie de 300 mAh (contre 425 mAh pour la 44 mm) n’a tenu qu’une journée et demie (36 h) dans un scénario relativement intensif : affichage permanent en journée, suivi cardiaque permanent, suivi du sommeil, deux séances de course à pied.

© Benoit Campion pour Capital

On pourra glaner quelques heures en restant sage sur la régularité de certains suivis, mais à l’inverse, attendez-vous à une petite journée d’utilisation si vous sollicitez la montre sur une très longue sortie sportive ou le suivi GPS. En somme, recharger la montre à chaque réveil devient vite un réflexe… D’ailleurs, la recharge complète prend un peu de temps, environ 1h30 pour faire le plein, et uniquement via le chargeur fourni ou similaire (pas de recharge Qi, ni de recharge inversée avec les smartphones Samsung compatibles comme auparavant).

Les deux meilleures alternatives à la Samsung Galaxy Watch 7

Amazfit Balance : plus fiable et endurante pour la pratique sportive

L’Amazfit Balance est une belle alternative pour les sportifs soucieux de précision pour le suivi GPS et cardio, en quête d’une montre avec une meilleure autonomie. L’interface, les fonctionnalités, et les solutions d’accompagnement sont en revanche moins abouties que sur la Galaxy 7. À réserver à un usage sportif donc. Si vous êtes plutôt tenté par l’univers Garmin, la Vivoactive 5 est un autre modèle à considérer.

OnePlus Watch 3 : l’alternative sous Wear OS, deux fois plus endurante

Vu son prix, difficile de trouver une montre connectée sous Wear OS qui peut rivaliser avec la Galaxy Watch 7, et ce malgré ses défauts. Il faut pousser un peu le budget pour voir les premiers modèles intéressants, comme la OnePlus Watch 3. Là encore, la tocante de OnePlus ne profite pas de toute la richesse logicielle de Samsung, mais elle à un contre argument de poids : une autonomie plus généreuse dépassant les 3 jours.

Conclusion

Doit-on craquer pour la Galaxy Watch 7 si l’on cherche une bonne montre connectée aux alentours des 200 € ? Tout dépend sous quel angle on la considère. Si l’on veut à tout prix un modèle sous Wear OS, en acceptant bien évidemment ses faiblesses (l’autonomie très limitée), alors la question ne se pose pas, surtout si vous évoluez déjà dans l’écosystème Samsung. Petit bonus, vous profiterez alors des quelques fonctions réservées aux disciples. Si votre priorité passe par l’accompagnement autour de la santé et des fonctions connectées, là encore, la Galaxy Watch 7 est des plus recommandables.

En revanche, si l’autonomie est un critère primordial, et que vous cherchez surtout un compagnon sportif plus fiable, alors il faut y réfléchir à deux fois. La montre à prix doux de Samsung s’en sort correctement pour le suivi cardio, mais il est bien difficile de faire confiance aux données issues du GPS, clairement décevant malgré la présence d’une puce double fréquence. Le fait de ne pas pouvoir relier directement des capteurs externes est aussi frustrant. C’est dommage, sans cela, elle aurait pu mettre tout le monde d’accord.

  • Qualité de fabrication : 4/5
  • Écran : 5/5
  • Ergonomie : 4,5/5
  • Fonctions sport & santé : 4/5
  • GPS : 2,5/5
  • Autonomie : 2/5

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