
Sommaire
- Navigation : des erreurs d’identification qui n’aident pas le bras motorisé OmniGrip (4/5)
- Aspiration : puissante, efficace et optimisée en mode SmartPlan (4,5/5)
- Efficacité de lavage : très bonne pour le quotidien, mais perfectible sur les traces tenaces (4/5)
- Application : très complète et en constante évolution (5/5)
- Entretien : facilité, à réaliser moins fréquemment (5/5)
- Réparabilité
- Deux alternatives au Roborock Saros Z70
- Conclusion
Trônant tout en haut de la gamme des aspirateurs robots de Roborock, le Saros Z70 bénéficie évidemment des technologies les plus élaborées et maîtrisées par la marque : base tout-en-un qui vidange la poussière, nettoie les patins serpillères et s’auto-nettoie à l’eau chaude, reconnaissance d’objets par IA, châssis relevable, brossette latérale et patin droit extensibles indépendamment (FlexiArm) pour atteindre les bordures et les coins, épaisseur minimale pour passer sous un maximum de meubles…
Malgré sa finesse, le châssis renferme l’étonnant bras mécanisé OmniGrip, une véritable démonstration technologique digne d’un film de science-fiction et une première sur le marché. Mais cette débauche de R&D a un coût qui commence "à piquer", puisque le prix du Saros Z70 flirte avec les 1 800 euros.
Navigation : des erreurs d’identification qui n’aident pas le bras motorisé OmniGrip (4/5)
Le Saros Z70 ressemble un peu aux Saros 10 et 10R par la forme de la base et par la finition mêlant mat et brillant. La finition miroir de la station, assortie à la trappe dissimulant le bras, n’est pas désagréable à l’œil, mais nous la trouvons un peu clinquante – la poussière et les poils d’animaux y sont bien visibles. Le Z70 ne mesure que 7,98 cm d’épaisseur pour passer sous un maximum de meubles.
Contrairement au Saros 10 qui utilise un LiDAR rétractable, le Z70 en est dépourvu (comme le Saros 10R). C’est déjà un sacré exploit d’avoir fait tenir le bras motorisé avec tout le reste dans un châssis aussi fin. Le Z70 exploite la technologie de navigation Starsight 2.0 qui, selon Roborock, assure un « balayage 3D » et appréhende les environnements complexes de manière plus « fine ». En théorie, il peut repérer des objets plus petits, détecter des obstacles latéraux et les suivre pour nettoyer leur contour, même s’ils sont irréguliers (comme des câbles, par exemple).

Sur le terrain, le Z70 n’a eu aucun problème pour cartographier la totalité de notre logement, en 6 minutes environ. Il nous a d’ailleurs proposé un découpage totalement crédible, bien qu’imparfait. Au bout d’un ou deux cycles, il a reconnu certains meubles et revêtements de sols, puis suggéré de nommer les pièces. Là encore, la reconnaissance ne s’est pas montrée infaillible mais déjà assez convaincante. Nous avons pu personnaliser la carte en quelques clics, pour la rendre fidèle à notre logement.
Concernant la couverture des surfaces, il n’y a aucun reproche à adresser au Z70. Il n’en oublie aucune et si des objets gênent son passage, il cherche d’autres solutions pour atteindre les zones qu’il n’a pas pu nettoyer. Comme promis par Roborock, le robot passe sous des meubles plus bas que ses prédécesseurs. Par exemple, il nettoie sous notre bibliothèque et notre canapé sous lequel même le Saros 10 ne voulait pas s’aventurer.
Quant aux zones compliquées, elles sont bien gérées. En effet, le Saros Z70 se débrouille particulièrement bien pour contourner avec soin et sans oubli tous les pieds de notre table ronde et des quatre chaises qui l’entourent. La navigation est précise, fluide et rapide ; le Z70 n’hésite pas. Cela n’est pas une surprise car c’est l’une des forces des robots de la marque (la gamme S8 s’en accommode déjà très bien depuis plusieurs années).

Tous les objets et reliefs sont également longés avec soin et de près, à l’exception des câbles : quand le Saros Z70 en identifie un, il prend une large marge pour ne pas trop s’en approcher afin de ne pas rester coincé. Hélas, cela ne suffit pas toujours et il lui est plusieurs fois arrivé de s’emmêler dans des fils que nous avions laissé traîner à dessein. Plus ennuyeux : il est arrivé que le Z70 voie un câble, le reconnaisse, évite la zone puis insiste, revienne et s’empêtre finalement dedans alors qu’il l’avait reconnu quelques minutes auparavant. Même si des mises à jour pourront sans doute améliorer le résultat, on est loin de la promesse de pouvoir longer les câbles électriques, mieux vaut les mettre hors de portée du robot.

Quant à la reconnaissance d’objets par IA, elle fonctionne relativement bien, mais elle est loin d’être infaillible. Surtout, elle n’est pas constante. À savoir que si on lance trois ou quatre cycles de suite dans la même pièce, avec le même objet au milieu, le Z70 l’identifie mais pas systématiquement. C’est ainsi qu’il a reconnu nos tongs avant de les prendre pour des câbles, ou qu’il a identifié les gamelles de nos chats avant de les confondre avec un sac en plastique, puis ensuite avec des chaussures…
Nous avons déjà fait ce constat avec plusieurs aspirateurs robots de la marque, concluant que le principal était que l’appareil ne reste pas bloqué sur des objets. Mais dans le cas du Saros Z70, la reconnaissance d’objet est aussi utilisée par le bras mécanique, afin de permettre au robot de « faire le tri », dégager de son chemin des objets qu’il peut porter (pour l’instant jusqu’à 300 g) et éventuellement les ranger dans la boîte de stockage fournie. Plusieurs options sont possibles : le robot déplace les objets dans une zone déjà nettoyée, les stocke dans la boîte livrée, ou bien on peut le piloter depuis l’application (en utilisant la caméra et les commandes manuelles).

Nous l’avons testée dans sa version bêta et l’application indique bien qu’elle va progresser – ce qu’on espère. Il est certain que c’est impressionnant, technologiquement parlant. Mais en l’état, il y a pas mal d’erreurs : des objets mal identifiés donc non ramassés, des échecs inexpliqués - le robot commence à ramasser, puis repose l’objet en annonçant un « échec » de la tâche, ou bien il sort de sa station en annonçant qu’il va trier puis revient sans avoir rejoint l’objet…
Le Z70 est aussi inconstant dans son comportement de tri : parfois, il ramasse un objet pendant le nettoyage, mais il lui arrive de terminer le cycle, puis de rentrer à sa base avant de procéder au « tri ». À noter aussi que le bras ne fonctionne ni sur les tapis/moquettes, ni si les objets sont près d’un mur ou d’un meuble.
En outre, au moment où nous écrivons ces lignes, la mise en œuvre n’est pas parfaitement intuitive. Il faut notamment avoir activé l’affichage à distance, via la caméra, pour que la boîte de stockage soit reconnue automatiquement. Par ailleurs, le ramassage prend du temps ; le robot tâtonne souvent.

En l’état, il s’agit plus d’une démonstration technologique selon nous, que d’une fonction réellement utile. Le Saros Z70 est encore bien loin de pouvoir ranger la maison avant de la nettoyer. Nous préférerions qu’il gère déjà mieux les obstacles du quotidien, en particulier les câbles.
Aspiration : puissante, efficace et optimisée en mode SmartPlan (4,5/5)
Roborock revendique une puissance d’aspiration de 22 000 Pa. Comme on peut s’y attendre, sur les sols durs, la plupart des salissures sont aspirées sans difficulté : c’est le cas de la poussière, des poils de chat, des cheveux et des saletés plus épaisses (litière pour chat, petits morceaux de croquettes…). Toutefois, quand des salissures épaisses sont présentes en quantité, il peut arriver que le Saros Z70 en laisse un peu, notamment dans les reliefs comme les joints de carrelage. Il peut aussi avoir tendance à en éparpiller avec sa brossette.

L’application propose une fonction de reconnaissance de saletés en version bêta. Celle-ci augmente la puissance d’aspiration en temps réel, quand une quantité importante de saleté est détectée. Cela fonctionne bien, mais seulement en mode SmartPlan, que nous recommandons pour les pièces les plus sales.
Une remarque aussi concernant la brossette latérale extensible FlexiArm Design, qui se déploie pour atteindre les angles et le long des bordures. Elle s’étend certes à bon escient, mais plutôt devant le robot que sur le côté, ce qui ne lui permet pas toujours d’atteindre parfaitement les recoins. Une autre fonction liée à la brossette extensible est proposée en version bêta, pour qu’elle se déplie dans les creux et fissures. Elle se déploie effectivement sous certains meubles très bas ou sous les portes fermées, mais pas bien loin dessous.

Pour nettoyer les tapis et moquettes, comme les autres modèles de la gamme Saros, le Z70 peut désormais laisser ses patins serpillères dans sa station, ce qui évite de mouiller ou salir ces surfaces – sinon on peut choisir qu’il les soulève (dans l’app). La puissance augmente automatiquement à son maximum lorsqu’un tapis ou une moquette est détecté. Étonnamment, le Saros Z70 a eu du mal à se hisser sur notre tapis de test et ce malgré son châssis relevable AdaptiLift, dont il a fait usage à plusieurs reprises, ce qui l’a amené à rater des zones lors de certains cycles. En revanche, toutes celles où il est passé sont immaculées. La détection fonctionne parfaitement et le passage à la puissance max ne laisse rien derrière.
Efficacité de lavage : très bonne pour le quotidien, mais perfectible sur les traces tenaces (4/5)
Pour laver les sols, le Saros Z70 n’utilise pas une serpillère vibrante (comme le Saros 10) mais deux patins rotatifs. Non seulement l’élimination des taches tenaces (comme le ketchup séché) est moins efficace, mais les patins peuvent aussi laisser quelques traces arrondies visibles à contre-jour, en particulier si les sols sont un peu sales ou gras. Pour obtenir les meilleurs résultats, nous recommandons d’aspirer, puis laver séparément (ce mode est accessible dans les usages). Le parcours « approfondi+ », dans lequel le robot fait des trajets plus resserrés, améliore les performances et limite les traces, même s’il nécessite plus de temps. C’est celui que nous recommandons, surtout pour les pièces de vie qui se salissent rapidement, comme la cuisine.

D’autant que même en mode SmartPlan, le nettoyage automatique à la serpillère (qui doit être activé dans l’application) n’a pas prouvé son efficacité. Si la reconnaissance de saletés abondantes fonctionne très bien pour les déchets, celle de taches tenaces n’a pas été à la hauteur. Le robot a laissé notre cuisine copieusement tachée, estimant que son cycle était terminé. Trois cycles distincts (parcours approfondi+ et niveau d’eau élevé) ont été nécessaires pour en venir à bout. Et encore, à l’issue de ce test extrême (réalisé à l’eau pure), des traces grasses de patins restent visibles à contre-jour.
Rappelons que le Z70 peut fonctionner avec du détergent Roborock, le mélange s’effectuant d’ailleurs automatiquement. Mais même avec ce modèle très haut de gamme, la marque ne le fournit pas (pas plus que d’autres accessoires, à l’exception d’un sac à poussière de rechange).

En fin de cycle, le robot est supposé avoir identifié les pièces ou les zones les plus sales. Pour y accéder, il faut se rendre dans l’historique, puis cliquer sur l’icône « niveau de saleté ».
Comme nous le supposions, il n’a pas repéré les zones tachées de ketchup. Au final, le Roborock Saros Z70 entretient très bien les sols moyennement sales, et élimine sans problème les petites traces du quotidien. Pour celles plus incrustées, c’est plus délicat et il est nécessaire de lui faire répéter l’opération pour obtenir un sol impeccable.
Application : très complète et en constante évolution (5/5)
L’application Roborock fait partie des plus complètes. Entre fonctionnalités gérées ou facilitées par l’IA (comme la reconnaissance de mobilier, des revêtements de sols, des pièces, des objets…) et possibilités de personnalisation offertes grâce à quelques manipulations, on peut absolument tout régler. Mais au vu de l’étendue des possibilités, il faut prendre le temps de s’y plonger pour la maîtriser.
Pour commencer, si vous ne souhaitez pas aller très loin dans la personnalisation, nous recommandons de personnaliser au moins la cartographie de votre logement – quitte ensuite à confier les sols au mode intelligent SmartPlan, qui gère le nettoyage soit de tout le logement soit pièce par pièce (on le sélectionne comme un mode de lavage). Alors que nous avions du mal à appréhender la pertinence de ce mode, on apprécie de pouvoir désormais consulter en temps réel ce que fait le robot (aspiration, lavage, détection de saleté, lavage de serpillère…) à tout moment. On retrouve aussi les étapes détaillées du cycle dans l’historique.

Roborock a fait évoluer son application touche par touche pour la rendre plus intuitive. Globalement, les fonctionnalités sont classées de manière plutôt logique dans les menus et on les retrouve aisément. Les fonctions principales sont accessibles dès la page d’accueil, ce qui est un très bon point : lavage de la totalité du logement, d’une pièce ou d’une zone, choix des modes puis affinage des réglages pour chacun (puissance d’aspiration, niveau d’eau, nombre de passages, parcours du robot…). On peut aussi accéder aux paramètres de la station depuis cette page principale.
Il y a également des fonctions dédiées aux propriétaires d’animaux comme la caméra avec audio bidirectionnel, le mode patrouille dédié à la recherche des boules de poils, ou encore la prise de photos quand le robot croise un animal.

Nous avons tout de même quelques regrets quant à l’app Roborock, notamment le fait que le mode « aspirer puis laver » (l’un des plus utiles selon nous) soit séparé des autres, au sein des usages. Et quelques bizarreries. Par exemple, alors que le robot a identifié et positionné sur la carte les gamelles de nos chats et leur bac à litière, quand on active la fonction de nettoyage en profondeur autour des articles pour animaux, il indique qu’il n’y en a pas – il faut les positionner sur la cartographie manuellement.
Entretien : facilité, à réaliser moins fréquemment (5/5)
La station du Roborock Saros Z70 effectue le lavage automatique des serpillères à l’eau chaude à 80°C. On peut opter pour un lavage intelligent (ce que nous avons fait), dans lequel la quantité d’eau et la durée de lavage sont ajustées en fonction de l’état de saleté des patins. On peut aussi choisir de les laver à l’eau tiède ou froide, mais le réglage de la température n’est pas automatisé, contrairement à ce que propose Dreame. On peut également choisir l’intervalle de lavage des serpillères (toutes les 10 à 25 min, ou à chaque changement de pièce). Pendant toute la durée de nos tests, les serpillères sont restées propres, même en nettoyant des substances grasses et collantes. Classique : leur lavage est suivi par une étape de séchage à l’air à 55°C, dont la durée est réglable (2, 3 ou 4 h).

La brosse principale a été revue : elle mêle poils, lamelles en caoutchouc et une sorte de peigne anti-enchevêtrement qui fonctionne fort bien (les cheveux et poils d’animaux ne s’y emmêlent pas du tout, pas plus qu’ils ne s’enroulent autour de la brossette). Roborock a même prévu de quoi éviter que les cheveux et poils s’immiscent dans la roulette omnidirectionnelle, à l’avant du robot.
On apprécie surtout que la station s’auto-nettoie à l’eau chaude, en même temps que les patins. Cela fonctionne vraiment bien, car durant nos deux semaines de tests intensifs, nous n’avons pas eu besoin de la rincer ou décaper manuellement – ce qu’il faudra prévoir de temps en temps mais beaucoup moins souvent. Il est recommandé de rincer le bac seulement une fois par mois.

Comme toujours, l’application renferme un onglet dédié à l’entretien, dans lequel est évaluée la durée d’utilisation avant nettoyage et remplacement de chacun des éléments (filtre, brosses, capteurs, sac à poussière…).
Réparabilité
Le Roborock Saros Z70 affiche un indice de réparabilité de 8,5/10, dans la moyenne haute. Quand on regarde de près la grille de calcul détaillée de l'indice, on remarque néanmoins que le Saros Z70 écope d'une mauvaise note au sous-critère de disponibilité des pièces détachées de la liste 2 : seulement 2/10. Il ne s'agit certes pas des 3 à 5 pièces les plus sujettes à la casse ou aux pannes (regroupées dans la liste 1) mais à avoir à l'esprit. En effet, cette "liste 2" correspond tout de même aux 10 autres pièces détachées dont le bon état est nécessaire au fonctionnement de l'appareil.
La réparabilité n’étant pas synonyme de fiabilité, on peut également se demander si le bras mécanique ne pourrait pas constituer un point de fragilité. Il faudra attendre plusieurs mois ou années pour en avoir une idée. En ce qui concerne les consommables (détergent, filtre, sac à poussière, serpillères…), Roborock a beaucoup évolué. On peut désormais se les procurer facilement sur la boutique en ligne de la marque (onglet accessoires), ou sur les grands sites de vente en ligne habituels.
Deux alternatives au Roborock Saros Z70
Roborock Saros 10
Actuellement, le Z70 est le seul disposant d’un bras robotisé. Mais toutes les autres fonctionnalités sont présentes dans le Roborock Saros 10, équipé d’une serpillère vibrante et d’un LiDAR rétractable. Si vous préférez les deux patins rotatifs, optez pour le Saros 10R, qui utilise comme le Z70 un système de navigation StarSight sans LiDAR.
- Lire le test complet du Roborock Saros 10
Dreame X50 Ultra Complete
Sinon, le modèle haut de gamme Dreame X50 Ultra Complete constitue une excellente alternative, qui aspire correctement sur tous les sols et lave efficacement. En outre, son système de navigation est performant et il identifie plutôt bien les obstacles.
- Lire le test complet du Dreame X50 Ultra Complete
Conclusion
Avec le Saros Z70, premier aspirateur robot grand public doté d'un bras motorisé capable de ramasser les objets, Roborock crée bel et bien un effet waouh. Mais selon nous, cette fonctionnalité ne justifie pas, en l’état, de débourser autant. En effet, si le robot parvient à ramasser quelques objets, les possibilités restent limitées : ce sont seulement certains types d’objets et les plus légers. De plus, il y a encore pas mal de ratés et l'appareil n’identifie pas toujours bien les obstacles ou pas systématiquement. Enfin, quand le Saros Z70 réussit à trier, l’opération est assez lente.
La fonction va évoluer ces prochains mois et années. Mais pour l’instant, on est encore loin du compagnon ou de l’assistant qui va ranger la maison à notre place. Or, pour remplir toutes les autres missions d’aspiration et lavage, il existe aussi bien, voire mieux, pour moins cher. Ce qui n’enlève rien au fait que ce Saros Z70 jouit de bonnes performances d’aspiration et lave efficacement les sols si on choisit des réglages pertinents. Quant à sa station, on apprécie qu’elle allège les opérations d’entretien.
- Navigation : 4/5
- Efficacité d’aspiration : 4,5/5
- Efficacité de lavage : 4/5
- Application : 5/5
- Facilité d’entretien : 5/5
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