Voilà déjà un an que le Chinois Narwal a posé ses valises dans l’Hexagone. Et il n’a pas chômé depuis pour venir tailler quelques croupières aux mastodontes du domaine comme Roborock ou Dreame déjà bien installés. Nous avons testé plusieurs de ces appareils comme les Freo X Ultra et Z Ultra, ou encore Freo Z10 et Z10 Ultra au cours des derniers mois. Chacun de ces aspirateurs robots met en avant la volonté de la marque de proposer un nettoyage toujours plus efficace. Ce nouveau modèle baptisé Flow ne fait pas exception à la règle. Et pour lui, Narwal inaugure une nouvelle technique de lavage des sols.

Comme Ecovacs avec son X8 Pro Omni, le S10 Ultra de 3i, ou le tout récent Mova Z50 Ultra, le Flow embarque un rouleau en guise de serpillière. Il délaisse ainsi les traditionnels patins de forme triangulaire utilisés jusque-là. La technique promet un lavage des plus efficaces, notamment avec les liquides renversés sur le sol. Mais le Flow ne s’arrête pas là. Il se pare aussi d’un moteur parmi les plus puissants du moment pour une aspiration redoutable sur tapis et moquette, et s’accompagne d’une station d’accueil complète qui s’occupe de tout pour garantir le bon fonctionnement et la propreté de l’appareil. Le Flow fait partie des modèles haut de gamme de la marque. Il n’a donc pas trop le droit à l’erreur. C’est ce que nous avons souhaité vérifier durant quelques semaines passées en sa compagnie.

  • Si vous trouvez que le Narwal Flow ne remplit pas vos critères de choix, consultez notre guide des meilleurs aspirateurs robots régulièrement mis à jour.

Navigation : gare aux petits obstacles (3,5/5)

Pour naviguer, le Flow fait l’impasse sur le LiDAR (télémètre laser) traditionnellement logé dans une tourelle sur le capot. S’il est bel et bien présent, il se niche à l’arrière du robot. Une astuce qui lui fait gagner quelques centimètres en hauteur. Le robot mesure ainsi 9,5 cm d’épaisseur pour se glisser plus facilement sous les meubles bas.

© Fabrice Brochain pour Capital

Pour s’orienter, l’appareil se dote aussi en façade de deux caméras RVB, dont l’une embarque un dispositif de lumière structurée. Celui-ci permet de détecter la présence d’objets 3D devant l’objectif avec un champ de vision à 136°. L’intelligence artificielle, baptisée ici NarMind Pro, fait évidemment partie du voyage. À elle d’analyser et d’identifier les obstacles qui se présentent devant le robot. Elle peut ainsi reconnaître plus de 200 objets selon la marque (chaussures, sac en plastique, câbles, etc.) ainsi que les animaux domestiques.

© Fabrice Brochain pour Capital

Ce trio (LiDAR-caméra RVB-caméra à lumière structurée) s’entend à la perfection et fonctionne très bien. Lors de son tour de reconnaissance, le Flow a dressé une carte du logement plutôt précise. Il a omis simplement une pièce. Mais il est vrai qu’il a été perturbé dans son périple par un chat particulièrement curieux. Une seconde exploration a permis d’aboutir à un scan complet. Les pièces sont bien délimitées et les zones recouvertes de tapis ou de moquette identifiées. L’appareil reconnaît également les pièces qu’il visite et réussit à les nommer sans erreur sur la carte. Il se déplace ensuite non sans une certaine élégance. Il semble glisser sur le sol tel un patineur. La raison ? Narwal a placé la roue directrice à l’arrière de l’appareil, et non à l’avant comme c’est souvent le cas. Les virages sont ainsi plus doux non sans être précis. Autre avantage : la roue s’encrasse moins rapidement.

Pour éviter les obstacles, le Flow s’en remet donc à ses deux caméras nichées dans son pare-chocs. Le résultat est aléatoire et dépend surtout du volume et de la hauteur des objets qui se trouvent sur son chemin. Il n’a par exemple pas remarqué la présence de l’étui d’écouteurs (2,5 cm de haut), ni du bouchon de liège lors d’un premier passage. Il les a poussés ou a simplement roulé dessus. Au second passage, il en a fait le tour et a même confondu le bouchon avec une déjection d'animaux domestiques. Idem devant le câble USB laissé au sol. L’une de ses brossettes latérales l’a embarqué alors que le robot tentait de le contourner. L’appareil l’a ensuite traîné derrière lui sur plusieurs mètres.

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La plus grosse erreur est survenue avec une petite figurine pour enfant de 4 cm. Posée debout, le robot l’a repérée et en a fait le tour. Couchée au sol, il l’a tout simplement avalée. Mais il a eu du mal à la digérer et s’est arrêté sans toutefois réclamer de l’aide.

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Le Flow a par ailleurs confondu à maintes reprises un pied de table pourtant assez gros avec un objet non identifié. Et impossible de lui faire entendre raison en lui signalant qu’il pouvait ne pas en tenir compte. Il s’est parfois montré un peu tête en l’air pour se cogner assez fort à d’autres meubles. Néanmoins, au fil des jours, sa reconnaissance s’est améliorée lui permettant d’éviter un peu mieux les collisions. En résumé, le dispositif d’évitement fonctionne avec des obstacles plutôt épais, moins lorsqu’ils dépassent à peine du sol. Gare donc aux jouets des enfants et autres pièces de puzzle dont le Flow ne fera qu’une bouchée.

En revanche, c’est un pro de l’escalade. Le Flow peut se hisser pour franchir les seuils jusqu’à 4 cm de haut. Nous l’avons vu à l’œuvre et se cabrer pour tenter de franchir le rail de la porte-fenêtre ce qu’aucun autre robot passé entre nos mains n’a osé.

Aspiration : un travail de pro sur tapis et moquettes (4/5)

Pour ce modèle haut de gamme, Narwal n’a pas lésiné sur la motorisation. Le robot développe ainsi une puissance de 22 000 Pa, soit autant que le Saros 10 de Roborock. À cela s’ajoute un nouveau dispositif : une plaque de pression. Ce système est spécialement conçu pour le nettoyage des tapis. La plaque s’abaisse pour empêcher une déperdition de la pression d’air entre le sol et la brosse et éviter ainsi une perte de puissance. Enfin, le Flow se dote de deux brossettes latérales. Aucune n’est cependant extensible pour nettoyer les coins.

Sur sols durs, le Flow n’a rencontré aucune difficulté à engloutir miettes, poils d’animaux, poussières, cheveux et autres grosses particules comme des grains de riz ou de litières agglomérés, ou encore des coquillettes (crues). Avec le mode Flow (intelligent), il stationne dans les coins pendant une dizaine de secondes en faisant tourner ses brossettes pour tenter de récupérer la poussière qui s’y trouve. Cette méthode n’est pas toujours couronnée de succès. Et l’on regrette ici l’absence d’une brossette extensible qui aurait permis un travail plus soigné dans ces zones, tout comme sous les pans d’un canapé ou les meubles de cuisine.

© Fabrice Brochain pour Capital

Sur tapis et moquette, la technique utilisée par Narwal se révèle diablement efficace. Il parvient à extraire des fibres cheveux, poils d’animaux et autres petits débris avec une grande aisance. C’est simple, nous l’avons envoyé aspirer une chambre après un premier nettoyage opéré par le Saros Z70 de Roborock qui se révèle déjà doué dans cet exercice. Et pourtant, le Narwal Flow est revenu à sa station d’accueil avec son bac à poussières bien rempli, presque comme si la pièce n’avait pas été nettoyée auparavant. Surprenant.

En revanche, comme sur les sols durs, les brossettes latérales font ce qu’elles peuvent mais ne parviennent pas à vraiment accéder aux coins. Regrettable aussi, l’appareil ne les utilise qu’avec parcimonie. Elles sont mises en branle selon une logique qui nous échappe. Il n’a, par exemple, pas daigné les utiliser pour longer l’un des murs d’une chambre, tandis qu’elles étaient actives de l’autre côté. Étrange.

Pour cet exercice, nous avons utilisé - là encore - le mode Flow, géré par l’IA de l’appareil. Le robot repasse plusieurs fois sur les mêmes zones qu’il juge sale, insiste dans les angles et prend son temps. Il lui a ainsi fallu 18 minutes pour aspirer une surface qu’il a estimée à 4,3 m2. C’est long mais les résultats sont là, c’est propre… sauf parfois sur les bords.

Enfin côté bruit, le Flow sait travailler avec discrétion. Nous avons mesuré seulement 51 dB en mode aspiration normale, 55 dB avec le mode Fort et enfin 64 dB en mode Super puissant. C’est très appréciable.

Lavage des sols : une gestion des taches à améliorer (3,5/5)

Pour ce Flow, Narwal abandonne donc ses traditionnels patins de forme triangulaire que l’on retrouve sur tous ses autres robots. Pour les remplacer, la marque a adopté un rouleau serpillière. Une technique que nous avons déjà appréciée chez la concurrence et qui donne de très bons résultats, surtout lorsqu’il s’agit de nettoyer des liquides fraîchement renversés au sol. Lorsqu’il est bien maîtrisé, le rouleau serpillière évite d’étaler les taches comme le feraient des patins rotatifs ou une serpillière vibrante. De la même façon, il se montre aussi généralement plus efficace pour l’entretien régulier des sols.

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Mais le rouleau dissimule deux inconvénients. D’abord, le robot ne peut s’en débarrasser à la station lorsqu’il part effectuer simplement une tâche d’aspiration. S’il est humide, l’appareil doit être capable de le remonter suffisamment haut pour ne pas tremper les tapis et moquettes sur son passage. Ensuite, ce type d’équipement peine généralement à bien laver le long des murs. Dans le cas du Flow, Narwal a prévu le coup. Le rouleau serpillière peut se décaler de quelques centimètres pour dépasser du flanc droit du robot et longer ainsi les murs. Le Flow s’appuie par ailleurs sur diverses techniques pour laver le sol. Il utilise de l’eau chauffée à 45°C. Elle est diffusée en permanence à travers 16 buses réparties au-dessus de la serpillière.

© Fabrice Brochain pour Capital

Une raclette élimine les saletés de la serpillière qui est nettoyée en permanence. Enfin, son mode intelligent baptisé ici DirtSense lui permet de détecter les traces humides au sol et d’adopter ainsi la bonne stratégie de nettoyage.

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Beaucoup de promesses donc. Et la dernière indiquée n’est pas tenue. À deux reprises nous avons demandé au Flow de laver le carrelage blanc de la salle de bains sur lequel nous avons renversé volontairement du liquide rouge. Le DirtSense n’a rien vu. Le robot s’est jeté sur le liquide répandu au sol avec ses deux brossettes latérales sorties et activées. Il en a donc éparpillé une bonne partie avant, en effet, d’éliminer les taches avec sa serpillière. Néanmoins, les brossettes sont restées évidemment bien imprégnées. C’est un échec.

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Avec des taches moins complexes et moins piégeuses, le Flow s’en sort bien. Sur un sol moyennement sale, laisser le robot gérer seul l’intensité de lavage fonctionne bien. Sur un sol plus encrassé, son intelligence artificielle NarMind Pro est plus flemmarde et a tendance à aller au plus vite. Un passage par le mode manuel précisant le nombre de passages (jusqu’à 3), le taux d’humidité de la serpillière (sur trois niveaux) et le degré de minutie souhaité (entre standard et méticuleux) est préférable. Le sol se révèle bien propre.

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Enfin, le décalage du rouleau sur le côté pour longer les murs se révèle pertinent et assez efficace. Les angles des meubles lui échappent mais la plupart du temps le bas des plinthes est bien nettoyé. Malheureusement, il ne peut ni atteindre les coins ni se faufiler sous les bas de porte ou les appareils électroménagers.

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Ergonomie de l’application : de nombreux choix, mais pas assez de liberté (4/5)

L’application de Narwal se montre à la fois intuitive et déstabilisante. Intuitive car tout y est plutôt bien rangé et compréhensible. La carte affichée surprend toujours un peu par la volonté de présenter les pièces entourées de rectangles ou de carrés, plutôt que sous leurs formes originales. On peine ainsi à en percevoir les vrais contours. Néanmoins l’ensemble demeure très lisible. Ce qui laisse le plus perplexe, c’est la gestion des tapis et moquettes. Le robot détecte seul leur présence et emplacement. Mais il est impossible de les ajouter manuellement s’il rate son coup. Ne comptez pas indiquer qu’une pièce est recouverte de moquette. Vous n’aurez le choix qu’entre six types de surface : Général (sans plus de précision), Plancher en bois dur, Carrelage, Tatami (sic), Marbre et Pavé. On a beau chercher, la moquette ne fait pas partie du lot. Quant à l’option Tapis présente dans les réglages, elle ne permet que de gérer le comportement de l’appareil en leur présence : Mettre sous pression (c’est-à-dire aspirer), Éviter (pour les tapis à poils longs), Croiser ou Ignorer. Tant pis, il faut s’en remettre au jugement du robot.

© Fabrice Brochain pour Capital

L’appli offre bien sûr toutes les options pour réaménager les pièces au besoin ou créer des séparations, ajouter des meubles et pointer des espaces particuliers (comme les zones qui concernent les animaux domestiques).

Il est aussi possible d’ajuster le mode intelligent FreoMind, mais les intitulés des menus et leurs fonctions sont parfois abscons. Ainsi nous est proposé un menu Limite d’utilisation de la serpillière avec trois niveaux (de 1 à 3) ou AI. Aucune indication n’est fournie sur l’effet d’une modification de ce réglage. Mystère.

Entretien : simple, pratique et peu fréquent (5/5)

Le Narwal Flow s’accompagne d’une station d’accueil pour limiter son entretien. Elle adopte un design tout en rondeurs et élégant, comme les autres modèles de la marque. Elle héberge un sac à poussière de 2,5 L, un très généreux bac d’eau propre de 5 L et un bac d’eau sale de 4,75 L. De quoi a priori s’occuper seule de la maintenance du robot pendant plusieurs longues semaines.

© Fabrice Brochain pour Capital

Surprise en revanche, elle ne dispose d’aucun bac dédié au détergent. Si un flacon de 200 ml est bien fourni avec l’appareil, il faudra en diluer vous-même dans le bac d’eau propre. Étrange pour un robot de cette trempe.

La station applique un soin méticuleux à l’entretien du robot et au sien. Les serpillières sont lavées avec une eau chauffée à 80°C, pour finir par les sécher à l’air chaud à 45°C. Il est même possible de régler la façon de sécher : Silencieux ou Puissant.

La vidange du bac à poussière jouit elle aussi de plusieurs réglages. Elle peut s’effectuer de façon systématique lorsque le robot revient à sa station, ou de manière intelligente lorsque le robot le jugera utile. De la même façon, un mode de purge silencieux cohabite avec un mode Puissant. Le second convient si la maison compte des animaux domestiques. Néanmoins, quel que soit le mode, nous avons rencontré un petit pépin. Un amas de poils d’animaux mêlés à ceux de la moquette a obstrué l’évacuation. La station n’a jamais pu l’aspirer et nous avons dû le déloger à la main.

© Fabrice Brochain pour Capital

Nous ne nous sommes pas non plus expliqué deux phénomènes récurrents. La station procède à la désinfection du sac à poussière pour éliminer les bactéries au son d’un léger vrombissement. L’opération dure environ une heure. Mais même une fois achevée, un bruit de fond persiste sans que l’appli n’indique la moindre activité en cours. Un ronronnement qui peut durer plusieurs dizaines de minutes. De la même façon, la station émet des bips. Nous ne sommes pas parvenus à en connaître la raison puisqu’ils retentissent de façon aléatoire alors que l’ensemble (station + robot) est en veille.

Reste que la station comme le robot restent très propres. Après 15 jours d’usage intensif, la brosse principale du robot munie d’un dispositif anti-enchevêtrement était comme neuve.

© Fabrice Brochain pour Capital

La station de son côté présentait un niveau d’encrassement très léger. C’est appréciable puisque l’on sait alors que l’on n’aura pas besoin de s’en occuper très souvent.

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Réparabilité : bon partout sauf pour l’essentiel

Le Narwal Flow affiche un indice de réparabilité de 8,2/10. C’est assez satisfaisant. Mais à observer le détail de la note, on déchante un peu. En effet, l’appareil obtient un double zéro pointé sur le délai de la mise à disposition de certaines pièces détachées. C’est ce qui le pénalise le plus, puisque sur les autres critères de notation, il obtient 10/10 neuf fois sur dix. Un phénomène que nous avons déjà constaté chez son petit frère le Freo Z10 Ultra sorti au printemps dernier. Narwal n’a donc - semble-t-il - rien amélioré sur ce point. C’est regrettable et pas très rassurant non plus.

Deux alternatives au Narwal Flow

Mova Z50 Ultra

Mova mise lui aussi sur le lavage des sols au rouleau avec son Z50 Ultra. Et il se sort aussi très bien de cet exercice, notamment dans la détection et le lavage des taches fraîches. En revanche, il se montre moins discret tant par la taille de sa station que par le bruit qu’il produit pendant le nettoyage.

Ecovacs X8 Pro Omni

Le X8 Pro Omni se dote lui aussi d’un rouleau serpillière pour laver les sols. Et s’il ne possède pas de tampon latéral, c’est simplement parce qu’il décale son rouleau pour laver le long des murs. La puissance d’aspiration est également au rendez-vous avec 18 000 Pa.

Conclusion

Pour cette première incursion dans le monde du lavage au rouleau serpillière, Narwal s’en sort plutôt bien. Son Flow coche presque toutes les cases d’un robot aspirateur laveur auquel on peut faire confiance pour entretenir les sols de la maison sans trop se soucier de l’intendance. Presque, car il reste tout de même quelques points à corriger. Ça commence avec la détection des obstacles durant la navigation. Si l’appareil se déplace de pièce en pièce sans la moindre difficulté, il peine en revanche à bien repérer les petits objets qui traînent au sol. Mieux vaut le savoir avant de le lâcher dans une chambre d’enfant. Ensuite, le lavage des taches fraîches nous a moins emballé que la prestation du Mova Z50 Ultra. Là encore, le robot a mal anticipé la présence de liquide répandu sur le sol pour définir sa stratégie de lavage. Quelques ajustements semblent donc nécessaires pour en faire un bon compagnon du ménage quotidien. Car sur les autres aspects, le Flow tire son épingle du jeu. Sa puissance d’aspiration force le respect tout comme sa maintenance. Un robot facile à vivre auquel il ne manque vraiment pas grand-chose pour être parfait. Rien en tout cas qui ne puisse être corrigé avec quelques mises à jour logicielles.

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