Depuis l’été, on ne compte plus les victimes de l’inflation. Les ventes de produits bio sont ainsi en chute libre, comme celles de la plupart des emblèmes du «mieux manger», estampillés «sans sucres ajoutés», «sans OGM»… Côté enseignes, les prix trop élevés de Casino ont accéléré la désaffection envers le groupe stéphanois, jusqu’à sa revente, en juillet. Quant aux hypers et supermarchés du groupe belge Louis Delhaize, sous enseigne Cora et Match, ils se verront avalés par le géant Carrefour. Une hécatombe en grande partie due aux arbitrages des Français, dont le budget annuel des courses a augmenté de 600 euros en moyenne.

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