C’est la pépite de Renault, qui a vu ses ventes bondir de 42% au premier trimestre, alors que le secteur se relève à peine des pénuries de semi-conducteurs. «Dans ma vie passée, j’ai essayé de créer un anti-Dacia. Je n’y suis pas arrivé», avait même confessé Luca de Meo, directeur général du groupe. Difficile, il est vrai, de dépasser les performances du site de Mioveni, en Roumanie, l’une des plus grosses bases du constructeur, dont les 10.000 salariés ont assemblé 314.000 véhicules en 2022, surtout des Duster, Jogger et Logan, à 90% expédiés vers d’autres pays. Même si ce bastion, en comparaison des sites souvent ultramodernes de la concurrence, détonne quelque peu.

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