Le cas : Une téléconseillère se voit reprocher par son supérieur hiérarchique plusieurs négligences durant un entretien professionnel. Ce manager rédige un compte rendu et la prévient qu’il va réclamer une sanction. Moins d’un mois plus tard, cette femme est licenciée pour faute grave. Elle conteste alors cette décision devant le conseil de prud’hommes. A tort, selon la Cour de cassation (1).

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