Son cabinet d’ostéopathie ne désemplit pas. Et cela fait trois que ça dure... La clé de cette auto-entrepreneuse de 26 ans ? Son investissement et sa disponibilité auprès de sa patientèle, qui lui reste fidèle. C’est d’ailleurs ce qui lui a, en partie, permis de lutter contre l’inflation. “Je ne compte pas mes heures, je m’adapte aux disponibilités de mes patients”, avance Céline. L’ostéopathe a ainsi étendu ses horaires, travaille le samedi parfois très tard, certains dimanches et jours fériés, commence de temps à autre tôt le matin et travaille entre midi et deux. Et ce, afin d’augmenter la fréquentation de son cabinet. Le coût du stockage des données, qui lui permet d’avoir accès à tous ses dossiers partout, a doublé (20 euros). Mais elle a tenu à le préserver, afin d’être disponible, “même en vacances”.

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